Dans la nuit, une ombre progresse furtvement commeelle en à l'habitude... Tel les prédateurs en chasse sauf qu'il n'était pas temps de se nourrire et qu'il avait eu son compte de sang pour le soir, non, ce soir, Raziel allait entrer par la fenêtre d'un batîment dont la porte lui avait toujours été ouverte.

Il se mit à escalader le mur de la taverne de son ami Clad, un jeu d'enfant pour un vampire la fenêtre était d'ailleurs ouverte. Il s'y glissa silencieusement, le débaras de la choppe hurlante. Quel basard... Heureusement, il pouvait voir dans l'obscurité... Sinon il aurait dut allumer les lumière ou aurait fait un boucan monstre. Il possa un sac de voyage contenant ses anciens larcins et ses affaires qu'il était allé récupérer à l'ecole, esuite, il était passé à la bibliothèques et avait volé des livres de différents niveaux de controlle des pouvoirs ignis...

Mais ce qu'il venait chercher lui servirait plus imédiatement, pour la bataille il lui faudrait une arme digne de ce nom, et il avait une idée précise de l'arme qui lui conviendrait, la même arme qui lui avait ouvert le ventre et fait de lui un vampire l'arme forgée à Luxiana, la représentation parfaite de son âme corrompu L'arme de Danen Abadon, la ténébreuse Darckness.

Au milieu d'un bric à brac incroyable, il la retrouva aussi effrayante qu'au temps de sa mort... La lame incroyable, qui pouvait se diviser en 5 fouets tranchants. Il la saisit et la maintînt devant lui.
Il la sentait qui l'acceptait comme son nouveau maître, il pouvait devenir bien plus fort que ce qu'il ne l'avait été avant. Dans cette épée il sentait une aura maléfique, Darckness allait trancher à nouveaux, et faire couler le sang des elémentalistes, des élèves, et de tout ceux qui seraient sur son chemin des aujourd'hui.

Il fixa le fourreau à sa ceinture et rangea l'épée.
Il était maintenant temps de quitter cette pièce et même cette ville sans doute pour toujours, bien que ces pouvoirs ignis lui ouvriraient toujours la porte, étant vampire, pas démon, il ne pourrait pas manier les pouvoirs démoniaques.

Ca y est, comment les choses pouvaient en être autrement? Clad venait d'entrer dans la pièce... Pensait-il que le vampire cherchait de l'argent?
Non, il n'avait pas encore vu l'objet du cambriolage. Son regard changea d'un instant à l'autre tenait-il particulièrement à la lame? Quoi qu'il en soit, Raziel ne la rendrait pas, il avait besoin de cette lame pour la bataille...
L'ange noir resta un instant silencieux face à lui dans la pénombre et fema la fenêtre d'un courant d'air, peu efficace comme méthode, il aurait suffit au vampire de sauter droit sur le verre pour le briser et fuir mais, il ne voulait pas agir si sottement, en même temps, le temps pressait, et i fallait etre hors des murs avant la levée du jour.

Mais Clad non plus ne semblait pas prêt à se separer de Darckness si facilement, il avait fait jaillir sa propre lame maudite... Était-il prêt à combattre, ou n'était-ce que du bluff pour l'intimider

Enfin il ne devait dévoiler ses motifs à personne, surtout pas à Clad, mais peu importe il avait un mensonge parfait, bizarement, les attitudes lui vînrent naturellement pour une performance d'acteur plus vraie que nature.

Les griffes du Vampires se portèrent à ses épaules et entaillèrent la chair laissant quatre filets de sang dégouliner le long de ses deux bras.
Puis il dit d'une voix teinte de colère.

"Je ne supporte plus, je n'aurais pas la paix tant que je n'aurais pas pris la vie de Shinreï, j'ai besoin de toutes les forces possibles pour ça, y compris d'une lame valable... Ne me barre pas la route."

Mensonge absolu, car il y avait des lustres que la vie,la mort et les faits et geste de Suiton lui étaient indifférents...
Mais sa parrait très plausible, puis il découvrit son ventre pour montrer la cicatrice mortelle.

"C'est cette lame qui m'a tuer, la moindre des chose serait qu'elle me revienne, ça sera ma petite vengeance."

Pusi il avança d'un pas lent, déterminé, comme s'il ne croyait absoluent pas à la menace de Clad, bien qu'il le savait tout à fait capable de brandir l'épée conte lui, il rammassa son sac au passage, et se planta devant l'ange noir, le fixant dans les yeux.

"Vas-tu tenter de me tuer? Allez, vieux frère, laisse moi passer."

Il s'était écarté? La rencontre allait prendre fin ici maintenant? Était-ce tout?
Pas le temps de se poser de questions, Raziel passa son sac sur son épaule et se mit à avncer vers la porte...
Mais une chaise glissa et vint l'arreter tandis que l'ange se remit à parler. Raziel poussa un soupir de lassitude et murmurra.

"Évidemment, le contraire m'aurait déçu. Tu es trop malin pour tomber dans ce genre d'entourloupe."

La voix de Clad changea du tout au tout en une voix malefaisante... Presque autant que celle de danen, d'ailleur, en ne se fiant à l'aura, en se retournant, il serait surpris de ne pas apercevoir le canistia qui fut le dernier visage que Raziel vit en tant que Félistia.

"Je sais, je l'ai senti, et c'est cela qui me donnerait la voloté de t'affronter le cas écheant."

Il avait dit ça, comme de rien, comme une conversation amicale lors d'une promenade au square, on parlais pourtant de déchirement et de mort. Raziel se retourna et s'assit en travers sur la chaise, le bras pensant sur le dossier.

"Ne te méprends pas, je ne suis pas Erkios, personne ne m'a envouté et je ne recherche pas la puissance chez les démons, si je change de camps, je reste quandmême moi-même, évidemment, si sur le champs de bataille je croisait Gwen, Scakiana ou même toi, je n'essairais évidement pas de vous combattre."

Suite à quoi Raziel découvrit à son tour sa peau pour exhiber la cicatrice mortelle qui lui avait été faite...

"En voulant protéger la citée, je suis mort, j'ai toujours pensé que cette seule idée me ferait mourrir heureux... Mais je 'en ai rien tiré, j'en ai assez de vivre pour les autres... Je vivrais pour moi et c'est tout... Je n'ai rien d'autre à ajouter... Si ce nest que ta chère famille est en sécurité je crois, en tout cas ta fille non?"

Un deuxième long soupir s'en suivit puis il se leva de la chaise et regarda Clad avec détermination.

"Je ne me soumet à personne à cause de son charisme ou de sa puissance, je vais là où je vois mon interet, cela ne fait pas de moi, du jour au lendemain un être insensible sans amis... Maintenant j'aimerai pouvoir partir. Si tu n'as rien à ajouter bien sur?"

Puis il commença lentement à repousser la chaisse qui lui obstruait le passage.

La voie était libre, Clad ne lui laissait qu'un dernier avertissement, ne pas franchir, la porte... Oui c'était facile à dire, mais si tel était la volonté de Clad alors cet affrontement paraissait inévitable... Peut-être devrait-il combattre Clad durant la bataille...

"Voyons, je ne sais pas que te dire... Tu sais mieux que moi que les ordres de cette personne sont indiscuables... Et je préfère éviter son courroux, je ne connais pas encore ma place dans la bataille, qui sait si les défenses d'Elament tomberont? Si je dois t'affronter, crois bien que je le ferai à contre-coeur...
Quant à la citée... je ne lui porte pas de ressentiment, je me battrais parce que la nature m'y oblige, les vampires ne sont pas voués à l'enfer pour rien... Et cette citée m'a fait vampire."

Puis il saisit fermement la poignée de la porte et sorti de la pèce, puis de la choppe sans se retourner, il traversa la salle vide, et sortit dans la rue, le jour allait se lever... Il devait se dépecher! Il prit dans sa chemise le bout de parchemin d' A louqua, et le contempla, une dernière tentation s'empara de lui... Et il leva les yeux sur l'école le surplombant, majestueuse, autant que le jour où il était arrivé et y avait vu son destin se tracer. Peut-être, pourrait-il courrir jusqu'au bureau de Mlle. Naûr, lui tendre le papier, avec ça, les démonse seraient sans doutes vaincus, il pourrait sauver la citée, ou participer à sa destruction, dans le premier, cas, il serait un héros, les gens le remercieraient peut-être les yeux pleins de soulagement d'avoir été épargnés, Mais il ne serait toujours qu'un élève puis, ils l'oublieraient tout comme les centaines de personnes au courage, aux faits d'armes, ou aux destins extraordinaires, qui suivirent tous leur contemporains dans un oubli complet. De plus, il serai traqué par des hordes de démons. Sinon, il serait crains, haït, méprisé comme un traître à sa citée, à ses amis...
Trop tard, il avait déjà fait son choix, plus rien ne le retenait, il regarda partout, puis, sur de ne pas être vu, il prononça la fameuse formule, le son sortit de sa bouche, fluide comme une source, et le bout de parchemin, se mit à chauffer, il le lacha, et un grand éclair de lumière noire en jaillit, faisant fuir tous les chats errants, les rats et les oiseaux sur les toits... Quand elle disparue, on voyait se lever au dessus des remparts un soleil magnifique, dont les rayonnements ne pourraient plus rien contre Raziel à l'instant même il se trouvait a plus profond de la terre, derrier les bouclier de magie démoniaque, au coeur de l'enfer...