Une plume grise.
...
Une plume grise qui vole dans le ciel azur, petite tache de couleurs mal mélangées entres elles.
Des yeux jaunes ; des yeux jaunes la fixe, cette pauvre petite plume toute seule dans l’immensité du ciel.
Ces yeux jaunes étaient embués de larmes, il avait mal, Daïllïatel souffrait, les larmes coulaient, à peine retenues par l’ondin…
Il s’était isolé volontairement, il avait beau être un imbécile profond, il n’en restait pas moins fragile et fier ; ce matin un elfe s’était moqué de lui, de sa queue de poisson aux écailles bleues sombres, il avait fait l’indifférent mais maintenant il pleurait sa tristesse…
La Mer frappa soudain contre le bord des falaises de Felt.
Daïllïatel se pencha légèrement par dessus cette mer, presque déchaînée, une grimace de dégoût passa sur le visage fin du jeune homme, cette Mer…

Une vieille légende lui revint à l’esprit certaine mère ondines et sirènes la racontaient à leurs enfants, et Daïllïa écoutait de loin. Essuyant sa joue du dos de la main Daïllïa renifla et replaça une mèche de cheveux, des cheveux gris bleu… Il regarda ensuite le dos de sa main, un reste d’eau salée s’y trouvait, il pensa à ses yeux… Ses yeux jaunes… Daïllïatel pesta et lécha ensuite ses larmes pour après cracher dans la Mer.

*Je te hais… Tu es mon éternel cauchemar et si tu meurs un autre prendra ta place… *

Gardant une expression froide, presque meurtrière ; il détourna le regard et s’éloigna du bord de la falaise. Il rentra à la cité et flâna longtemps dans les rues et les ruelles… Il finit par arriver devant l’école, il était tard, la nuit couvrait déjà le ciel, mais les étoiles restaient peu visibles… Le couvre feu était-il passé ?
Advienne que pourra, ce soir, il était de mauvaise humeur. Daïllïatel semblait vouloir chercher les ennuis car il ne fit que flâner dans les couloirs, sans vraiment vouloir cacher sa présence ; croisant quelques couples désireux d’être seuls ou quelques petits rebelles préparant je ne sais quel coup foireux à un professeur ou à un élève ; en voyant de loin l’elfe qui s’était moqué de lui Daïllïa eut peur pendant un instant que la farce qu’il préparait ne lui soit destinée…
Reprenant confiance en lui Daïllïatel se dirigea vers la salle d’étude, il ferait mine de chercher un document pour un quelconque exposé.

Il poussa la porte de la salle, elle était vide, il soupira et entra.
*Toi mon cauchemar… Mon éternelle souffrance…*
Il prit une chaise , l’éloigna légèrement de son bureau, tout en prenant un livre dans la petite bibliothèque, il s’assit ensuite sur la chaise. Il glissa sa main sur le bois du bureau et soupira…

« Je suis le cauchemar vivant… »

Il n’avait pas murmuré, il n’avait pas hurlé, il avait juste parlé normalement ; la porte s’ouvrit, Daïllïatel lança un regard froid et tueur à la personne qui rentra…
Le cauchemar pouvait faire pousser des récifs dans la mer la plus calme…

(libre)

Assise dans la salle d’études la jeune fille s’été endormie sur son travaille, bien qu’elle aimait la mythologie Angélique avait trouver son devoir des plus épuisant, s’étirant et ballaient plusieurs fois elle avait repousser ses affaires et avait décider de fermer les yeux un peu. Mais elle s’endormie.

Depuis son retour dans la grande cité, Angélique n’avait cesser de recherches les elfes de la forêt noire qu’elle avait perdu en route, elle avait rechercher l’assassin de ses parents mais jusqu'à présent toutes ses recherches concernant les deux sujets qui lui tenait a cœur n’avait avancer en rien.

Allongée a ses pied Blondin son fennec s’inquiéter pour sa propriétaire, entendent un bruit l’animal sauta sur ses pattes et ce mit a grogne en voyant la personne apparaître.

Ouvrant les yeux Angélique se redressa, massant son visage fatiguer elle ce tourna vers le nouvel arrivant.

-Pardon ? Excuse moi mais je n’ai pas compris ce que tu viens de dire ?

La jeune femme ne put s’empêcher de se raidir lorsque Daïllïatel se mit a la dévisager, tout de suite la jeune femme pensa qu’il avait deviner qu’elle n’était pas une elfe mais une nymphe elle ne put s’empêcher de sourire, bien qu’elle été en effet une nymphe ont la confondait souvent avec une elfe, vu sa tenue vestimentaire, repoussant une mèche de ses cheveux elle lui adressa un sourire.

-Se son mes oreilles non pointu qui mon trahie ?

Elle ria, s’étirant elle murmura d’une voix calme.

-Je m’appelle Angélique, je suis une nymphe Oréade je fais ou devrais-je dire faisait partie de la tribu des guerrière de la valer au couleur, je pense être d’ailleurs la dernière je ne sais pas si d’autre membre de mon clam on survécu.

Emétant un gémissement Blondin sauta sur les genoux de sa maîtresse, celle-ci le gratta doucement entre les oreilles et murmura en jetant un coup d’œil sur son devoir qu’elle avait presque fini.

-Un devoir pour le cour de mythologie.

Le regardent la jeune fille fut étonner de voir des ailes, elle pensa qu’il devait s’agir d’un ange.

-Au faite comment t’appelle tu ?