Quand on est acculé(libre)

Lun 27 Nov 2006 - 21:13

Saräel transpirait, il était cerner, plaquer contre les restes de cette tour minable, couvert de sang, du sien et de celui des personne qui lui avait infligé les blessures qu'il portait, sa main ne tenait plus que faiblement son épée et malgré le fait qu'il n'aviat fait que blesser les gens avec son épée, ces derniers continuaient de le regarder comme un monstre, comme une créature ne leur voulant que du mal, et ils avaient tort.

Tout avait commencer en début de journée, Saräel n'avait pas dormis, ou du moins presque pas, mais pourtant les effets des plantes qu'il consomait lui avait rendu des forces et il était finalement parvenu a se lever et a partir, tel un nomade, il ne restait jamais longtemps au même endroit, et d'ailleurs, il n'aimait pas les endroits ou il se trouvait la plupart du temps.

Alors qu'il marchait encore dans les plaines aux alentours de la citée, des hommes avaient soudainement surgit, des chasseurs de démons, des personnes pretes sans doute a tout pour que l'on retiennent leur nom dans l'histoire, et bien peu auraient pu affronter Saräel si l'ame noire qui l'habitait était resurgie, mais, Saräel l'avait matée, pour un temps du moins, et elle se tenait tranquille, la seule solution qu'eu donc Saräel était la fuite.

Il avait fuit, les hommes aux trousses, ragaillardis par le fait que le démon s'enfuyait face a eux, et trop jeune pour comprendre qu'ils feraient mieux de renoncer pour la plupart, mais Saräel avait donc fuit, courut, le plus loin possible et finalement il s'était retrouvé encerclé et accullé a cette tour damné, où probablement il finirait ses jours sombres.

Il s'était alors défendu comme un beau diable, mais évitait de tuer les personnes qui l'assaillaient, il ne tuait pas, mais tranchait les tendons, coupait les muscles, mais malheureusement ses ennemis ne faisaient pas preuve des mêmes égards, ils attaquaient pour le tuer, et Saräel se retrouva bien vite couvert de blessures, sans gravitée pour la plupart mais fortement gênante, de plus le sang qu'il perdait le ralentisait.

Saräel n'opposait pratiquement plus de résistance aux 6 guerrier encore en état de le trucider, et d'ailleurs il n'aurait put tenir plus longtemps, sa lame s'échappa de ses mains et vient se planter dans le sol et il posa un genou a terre, il était vaincu, et bientot, il finirait sans doute comme tout les démons trop faibles pour vaincre un groupe comme celui-ci, il aurait peut se défendre, les tuer, comme lui soufflait son ame noire mais il n'en fit rien, il attendit simplement que sa vie s'achève enfin, bien qu'il n'en eut pas la moindre envie.

Son aura noire continuait de bruler avec la même intensitée et c'est probablement se qui empechait les hommes d'approcher trop prêt de Saräel lorsqu'il la relachait entièrement, mais il ne tiendrait pas ainsi longtemps, se n'était qu'une question de minute avant qu'il ne soit totalement vaincu, et a se moment là personne ne pourrait l'aider, et d'ailleurs, personne ne l'aiderait, il en était convaincu, après tout qui aiderait un démon??? A part un fou...

[voila libre a qui veut...]

Le soleil était haut dans le ciel lorsqu'Armand trouva enfin se qu'il cherchait: la Tour de Tyiös.
Parti en pleine nuit pour se promener à l'extérieur de la citée, il s'était laissé surprendre par l'astre diurne...ce qui était exceptionnel! Comme tous les vampires, Armand pouvait "sentir" le soleil lorsque celui-ci se levait. Mais là, il s'était fait avoir comme un débutant! Heuresement pour lui, Armand n'était plus un débutant. Et grace à sa longue vie de vampire, il pouvait à présent se mouvoir sous les rayons du soleil s'il portait des vêtements amples bien qu'il fut toujour pris de l'envie de dormir au contact de ses rayons.
Il avait donc décider de chercher la Tour de Tyiös, espérant pouvoir y trouver un abris dans ses ruines. Elwing le suivait toujours, humant l'air régulièrement et s'amusant avec à peu près tous ce qu'elle trouvait.
Mais Armand n'était pas d'humeur joyeuses pour autant et pour cause! Il avait très soif...
Bien qu'il l'ignorait, il n'était plus qu'à quelques mètres de la tour lorsqu'il entendit des cris, suivit de jurons...
A n'en pas douter il y avait las-bas des personnes qui ne s'entendaient pas à merveilles.... Ou pire quelqu'un en danger!
N'écoutant que son courage, ou son inconscience totale comme le savait Elwing, Armand se rua vers ces cris et se dissimula à proximité dans la végétation environnante.
Qu'elle ne fut pas sa surprise de constater qu'un jeune homme, en apparence tous du moins, bien amoché se tenait un genou à terre face à six assallaints non moins meurtris. Armand aimait beaucoup ses yeux mais était peiné de l'expression de résignation qu'il y lisait. A ses côtés, Elwing s'agitait, de toute évidence elle avait compris quelques chose au sujet de ce jeune homme. Mais quoi?
Soudain, l'un des assaillants cria:

"Nous te tenons démons!"

Ce mot frappa Armand comme un boulet de canon. Il s'avait ce que pouvait ressentir un être traqué, et c'est pour cela qu'il décida de se lancer à son seccour. Au grand désaroi d'Elwing...

S'élanssant des buissons, Armand fit tournoyers son manteau de velour rouge et se jeta sur le premiers homme à sa portée. Le plaquant au sol, il enfonça ses dents dans son coup et lui trancha l'artère. Le malheureux vit tous son sang jaillir hors de lui et ce répandre sur le sol...
Armand se positionna ensuite entre le démon et ses agresseurs et leur montra ses canines dégoulinantes de sang, sachant très bien ce que la peur pouvait engendré chez des êtres aussi lâche...
Il profita d'un instant de stupéfaction pour lancer au démon:

"Ce n'est pas le moment de baisser les bras! Debout, montrer ce que vous avez dans le ventre!"

Le soleil lui brulait le visage, mais Armand s'en moquait.
L'un des hommes s'élança sur lui, la dague levée. Mais Armand plaça son bras droit à l'horizontale et stoppa l'élan de l'homme. De son bras gauche il empoigna l'épée du démon et la fit passer au travers du corps de son adverssaire.
Les quatres hommes valides restant parurent hésiter, mais une expression de détermination irradia rapidement leur visage.

"Alors voulez vous vivre avec moi ou que nous mourrions ensemble chacun de notre côtés?"

Alors que comme une bête qui sentait ses dernières force s'enfuire, Saräel s'appretait a mourire, il avait sentit la présence d'une autre personne, une personne qui dégageait une aura froide, comme la mort, un vampire ? en plein jour ? Cherchait il refuge dans cette tour hideuse ? Sans doute, mais une chose était sûre pour Saräel il ne l'aiderait pas, même si les vampires partageaient un gout pour la mort qu'avait les démons, leurs manières étaient totalement différentes.

Qu'elle ne fut pas la surprise de Saräel de constater que ce vampire, se jeta sur l'un de ces assaillant qui attaquaient Saräel pour le tuer froidement, c'était une chose étrange qu'il avait fait, car en plus de son aura froide, Saräel sentait autre chose, la présence d'un élément, et quel personne controlant un élément irait sauver un démon ? Sans doute, Saräel rêvait il.

Mais apparement non, l'homme qui l'attaquait était bien mort et a présent le vampire se postait entre lui et les hommes qui restait, lui laissant du temps, justement ce qu'il lui fallait, il prit rapidement un pot dans sa sacoche et en sortit deux feuilles noîratre qui semblaient s'agiter comme des vers, les effets secondaires qu'il subirait seraient sans doute assez violent, mais sa vallait mieux que de mourire, il avala donc ses deux feuilles et immédiatement leurs effets se firent sentir.

Et alors qu'il se remetait debout tant bien que mal, l'homme put sentir l'aura de Saräel se déveloper autour de lui, l'aura de mort qui caractérisait Saräel était plus violente que jamais elle ne l'avait été mais Saräel la controlait, les feuilles lui avaient donner un peu d'énèrgie et lui permettait de dépasser les limites de ses muscles, pour un temps du moins...Alors il répondit simplement a l'homme d'une voix caverneuse

"Merci....Permettez que je reprenne mon arme..."

Et sur ce Saräel saisit son épée plantée dans le ventre de l'un des chasseurs et se posta a côté du vampire, les hommes parraissaient hésiter, mais un tressaillement de douleur du a une des blessures de Saräel, leur redonna du courage, un peu trop car le premier qui s'élança se vit trancher les pieds et briser la main droite. En effet Saräel evitait de tuer, mais il commençait a faire beaucoup plus mal qu'avant, et d'ailleurs sa vitesse de frappe avait été bien au dessus de se qu'il avait montrer aux hommes qui l'avaient attaquer.

Les hommes avaient peur, cela se sentait, et la vue du corps meurtris de leur compagnon semblait les mettre mal a l'aise pourtant ils ne semblaient pas décidé a mettre les bouts et tenaient toujours fermement leurs épées, est-ce que le vampire tuerait les deux hommes, en tout cas, Saräel ne le ferait pas, il les blesserait certe, mais ne les tuerait pas, il n'était pas encore prêt a briser son serment alors qu'il était lucide, il se tourna alors vers le vampire mais ne dit rien, après tout il n'avait rien a dire en plein combat, mais il cherchait a savoir pourquoi se vampire l'avait aidé, mais il ne le découvrirait pas avait la fin, il se contenta de répondre alors

"Je préfère vivre...Loin des gens pour ne pas avoir a les tuer..."

Paroles on ne peut plus étrange pour un démon, mais après tout, peut-être le vampire ne relèverait il pas...

Armand était stupéfait de la preste réaction du démon. En un instant il était passé d'un état d'acceptation de sa mort à une ardente résolution de survit.
Survit...Armand se rendit seulement compte de ses paroles lorsque le démon lui aracha pratiquement l'épée des mains pour mettre hors de combat l'un de ses oposant. Armand avait en effet parlé de survit alors qu'il était déjà mort depuis bien longtemps.
A présent jonché de deux cadavres et d'un estropié, le champ de bataille exalait l'odeur de la mort et du sang, mélé aux râles d'agonie de celui qui avait perdu ses deux pieds.
Armand nota que malgré l'incroyable volontée de pas hoter la vie, le démon avait condamné l'estropié à une mort lente et doulourese car du sang s'écoulait inexorablement de ses artères sectionnées...Sans aide, celui ci allait inéductablement mourrir.
Soulagé de voir le démon se tenir à ses côtés, Armand retourna son attention sur leur trois derniers adversaires.
L'un deux sélança sur le démon mais Armand lui décocha un coup de pied dans la machoir. L'homme tomba à la renverse tandis que ses deux compagnons s'élanssaient à leur tour. L'un sur lui l'autre sur le démon.
Pivotant sur sa gauche, Armand plaça ses deux bras tendus l'un au dessus de l'autre et les envoyas droit dans l'estomac de son assaillant.
Celui-ci se plia en daux sous l'effet de la douleur, laissant à Armand le temp de saisir la dague, qui demeurait auprès du mort précedant, et de la placé dans le corps plié en deux...
Ce dernier s'écroula alors brutalement sur les sol, toujour plié en deux, du sang s'écoulant de sa gorge tranchée.
Armand se retourna pour voir où en était le démon pour constater avec un certains effroi l'aura quie se dégageait de lui, tandis que l'homme qu'il avait envoyé à terre prenait ses jambes à son coup dans la direction opposé.
Seul deux de leur assaillant demeurait, l'un au prise avec le démon l'autre agonisant à terre.

Le vampire semblait stupéfait du changement brutal de réaction du démon, mais a présent c'était chose courante, il changeait rapidement d'humeur, d'avis, de pensés même, bien qu'il haisse cela, Saräel avait appris a faire avec, après tout, c'était les hommes qui l'avaient modeler comme il était aujourd'hui.

Saräel eut de la chance d'avoir le vampire a ses côtés, car, en deux trois mouvement il venait encore de lui sauvez la vie en décochant un coup de pied a la machoire a ce chasseur, néanmoins, il en restait deux, mais s'était déja moins désèspéré que lorsqu'ils étaient six, enfin.

Au moment ou le chasseur s'élançait sur Saräel, ce dernier n'eut que le temps de se mettre en garde avant de ressentir une violente douleur au crâne, ce n'était pas encore les effets de ses plantes, non s'était autre chose, sa partie malfaisante voulait sortir, voulait dominer a présent Saräel, mais il ne se laissait pas faire, il tiendrait, du moins, il l'espérait.

Néanmoins l'inattention dont fit preuve Saräel se solda par une entaille profonde dans son bras, le chasseur aurait mieux fait de s'écarter, car, s'était la blessure de trop, la goût qui faisait déborder le vase, et l'entitée malsaine qui d'habitude restait docile était a présent au commande, et cela se ressentait dans son aura, pronfonde, froide, mortelle, une aura qui faisait peur, une aura emplie de souffrance.

L'homme parut effrayer car, les yeux habituellement inexpressif de Saräel s'étaient soudain vu animé, animé d'une folie meurtrière, une colère sans nom qui ravageait tout sur son passage, et d'ailleurs, l'homme voulut fuir, mais il n'en eut pas le temps, lorsque Saräel était déchainé, il devenait incontrollable jusqu'a ce qu'il detruise complètement celui qui l'avait rendu hors de lui.

L'homme fuit donc, mais, soudainement, Saräel sembla disparaitre, puis réapparaitre devant l'homme, ce dernier tomba a la renverse et se mit a prier, dieux sait quelle divinitée, mais en un instant deux entailles s'étaient ouverte sur le torse de l'homme, et se n'était qu'un début, Saräel sembla danser autour de sa proie, une dance de mort, une dance ou chaque pas rappellait celui de la faucheuse.

Lorsqu'il eut finit, Saräel s'aretta et a l'endroit ou s'était tenu l'homme, il ne restait qu'un corps, encore vivant, mais écorché vif, les lambeaux de peau étaient étalé par tout autour de l'homme, mais pourtant, le sang ne coulait pas a flot, il mourrait, s'était certain, mais dans les 3 prochaines heures, chose qui ravissait l'entitée maléfique de Saräel.

Pourtant, peu de temps après, l'aura de Saräel redevient celle qu'elle était habituellement, comme si la malsaine entitée qui partageait Saräel était juste intervenue pour aider Saräel, et laissant se dernier se lamenter sur ces actes, elle se refugia dans un coin de son ame.

En effet Saräel se haissait en ce moment, il avait condamner a mort deux personne, lui qui s'était promis de ne plus jamais tuer, voila qu'il était l'instrument de la mort de deux personne, c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il tomba a genou et que les larmes roulèrent le long de ses joues et que son épée tomba en se plantant dans le sol. A cet instant il se dégoutait...ET cela serait ainsi tant qu'il serait en partie du moins, Bon...

Indescripitible, inimaginable...Les adjectifs se bousculaient dans l'esprit d'Armand après ce qu'il venait de voir...
Jamais, dans toute sa longue existence il n'avait assisté à un tel spectacle, à une telle mise à mort. Et pourtant cela ne le dégoutait pas, ni ne l'horrifiait. Comme pour l'aracher à ses rêverie, le soleil sembla redoubler d'efforts pour lacérer son visage de ses rayons. Immédiatement, Armand réajusta la capuche de son manteau sur ses yeux. Enfonçant ses mains dans ses poches, il en tira une paire de gants qu'il s'enpressa d'enfiler. Se sentant mieux, il décida d'étancher sa soif...
S'approchant de l'homme ayant les deux peids sectionnés, il l'agrippa au col puis planta ses canines dans son artères. Instantanément, le nectar jaillit et vint percuter son palais. Le flots de sang venait irrigués chaque partie de son corp, chaque membres, chaque vaisseaux, chaque tissus, chaques cellules. Son corp tout entier se portait à la rencontre de ce sang, de cette vie qui s'écoulait en lui. Après le nectar, vinrent les images. Désordonnées d'abords, puis relatant toute la vie de sa victime.
Armand ne relacha pas son étreinte avant d'avoir bue jusqu'à la dernière goutte. Puis laissa le corp sans vie glissé dans l'herbe.
Saisissant l'épée que le démon avait une nouvelle fois lachée, il décapita d'un coup nette le dernier homme. Arrachant un bout des vêtements du mort, Armand nettoya le sang qui maculait l'épée puis s'approcha du démon recroquevillé dans l'herbes.
S'agenouilant à son côté, il déposa l'épée sur sa gauche hor de portée au cas ou il deviendrait incontrolable.

*Quoi que ses pouvoir soient plus à craindres...*

Doucement, Armand posa une main, puis l'autre sur ses épaules.

"Vous ne supportez pas d'avoir hoter la vie à ses hommes? Ce n'est pourtant pas vous qui en êtes la cause, pour autant que je puisse en juger, mais plutot votre nature propre. Croyez vous pouvoir controlé le pouvoir qui est en vous aussi facilement qu'un chat?"

A ses mots, Elwing sortit des buissons où elle était resté cachée et se planta d'un bond devant Armand, remuant la queue en signe de désaprobation...

Armand entreprit de redresser petit à petit le démon afin de le calmer.
Mais ces yeux étaient devenus deux fenêtres aux volets clos qui ne donnaient plus sur son âme.
Dans l'esprit d'Armand combattait la volontée d'en finir avec tous cela, de la manière la plus radicale, et d'aider ce malheureux en lequel il ne voyait qu'une créature éperdue.
Mais il s'agissait tout de même d'un démon, d'un être qui pouvait basculer à tous moments dans une rage incontrolable et capable de comettre encore bien des attrocités.
Après reflexion, Armand se dit que le mieux était d'épargner à cet être de nouvelle souffrance et de mettre un terme à tous les meurtres qu'il avait pus commettre. Encore que sur ce point Armand s'apprétait à en rajouter un à une liste déjà assez longue...

D'un mouvement de son bras droit il s'empara de col du démon tandis que sa main gauche se posait sur sa joue. Attirant à lui le démon, Armand retroussa ses lèvres, révélant ses canines acérées et ivres de sang.

Armand planta ses crocs droits dans la gorge du démon et rencontra immédiatement son artrère.
Aucune réaction...
Armand se mit alors à aspirer le sang de sa victime, celui ci se déversant dans sa bouche à chaque nouveaux battement de coeur.
Le rythme s'accéléra.
A nouveaux les images déferlèrent dans l'esprit d'Armand, venue du tréfond de l'esprit du démon, ensevellies dans les méandres de son cervaux mais irigué par son sang.
Incompréhensibles au début, elles se firent de plus en plus nettes.
La mort de son père, le massacre des anges dans la clairrière, son maître Dezael, son meurtre...

Les deux coeurs se mirent à battrent à l'unissons puis vint le moment, qu'Armand ne chercha même pas à reculer, où le coeur du démon faiblit.
Armand adorait ces instants où le coeur de sa victime semblait crier: "Je ne veux pas mourir!"
Luttant, ce dernier finit par n'être plus qu'un murmure, avant de somber finalement dans le silence après un ultime soubresaut.

Doucement, sans relacher son étreinte, Armand déposa le coeur sans vie du démon au sol. Apparut alors dans son esprit une image aussi nette que s'il l'avait vu en face de lui: son nom.
Le mort se nommait Saräel Dezael.

Armand rengea l'épée dans le fourreau du démon, puis se la saignit autour de la taille. Il songerait plus tard à la revendre.
Pour l'heure, il prit le corp du démon pour l'pporter chez lui. Il désirait préparé un bucher funéraire pour Saräel Dezael. Peut être le placerait il au cimetierre. Il aviserait.

Armand Sulimo quitta La tour de Tyiös suivis d'Elwing, le corps sans vie du démon Saräel Dezael dans ses bras et son sang dans ses veines.

[Mort de Saräel Dezael et fin du topic]

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