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Par un matin calme, ou plus rien ne bouge, seul le chant des oiseaux résonna dans le ciel, un peu comme si la citée était endormie pour toujours. Les bois eu pulsait de vie, le moindre petit animal vivait et courait pour échapper a ces prédateur, c’était a l’heure de la relève, alors que la lune laisse sa place au soleil. Que les animaux nocturne laisse leur place au animaux diurne, cette heure ou il est difficile de voir ce qu’il y a voir. Bon bref c’était le lever du jour. Mais pourquoi vous inviter ici, simplement car la bas au loin dans le ciel, on peu apercevoir une forme blanche assez massive, qui prend des reflet argenter dans la lumière du jour. Un dragon, mais comment cela sa fait t’il, a t’il décider de se repaître de quelque petit inconscient qui sortirait de la citée.

Doucement il se pose prés de la porte sans presque rien faire bouger sur le sol, quelque grain de poussière volette sans plus. Soudain on peu entendre un bruit de pas, comme un personne qui atterrit au sol, apparaît alors cachée par l’aile du dragon, une jeune femme un peu frêle, au teint d’albâtre, au cheveux argenté et au yeux bleu comme la glace.
La jeune femme ne pose pas un seul regard sur la porte qui se trouve devant elle, elle ne semble rien regarder d’ailleurs, son corps frêle est tourner vers la forêts comme si elle attendait quelque chose, quelqu’un peu être.


D’ailleurs a l’orée des bois apparais rapidement, un superbe loup blanc, au yeux noir comme le charbon, il semble un peu essouffler, un peu fatiguer, la jeune femme sourit et saisit sur le dragon, un sac et un fleuret.
Elle s’approche de la tête de la bête et la caresse, avant de lui faire signe de s’envoler. Qu’est ce que sa dragonne a grandit, elle ne le réalise que maintenant. Avec un petit bruit sourd de gorge, la dragonne prend son envol, elle attendrait l’appel de sa maîtresse pour revenir.


*-Lene, elle vole trop vite maintenant.
Non c’est toi qui coure trop lentement, mon pauvre mercure.
-Même pas vrai, alors on est de retour.
Oui, tu crois que quelque chose a changer.
-Je n’en sais rien vraiment rien.*

La jeune femme soupira et posa une main blanche sur la tête de son loup, cela faisait quelque temps qu’elle était partie d’ici, partie a la recherche d’une légende, d’une utopie, qui d’ailleurs c’était relevée vrai. Elle avait retrouver la partie de son peuple qui vivait avec la magie, ceux qui ne coupait pas les ailes, ceux qui n’exilait pas les possesseur de magie. La bas la jeune femme avait appris beaucoup de chose, d’ailleurs sur son dos, on pouvait a présent voir deux ailes translucide, immatériel, un peu comme si elle n’était pas vraiment présente. Les aiels avait la dorme d’aile de papillon, elle ne servait a rien en fait, mais il lui plaisait de les laisser, prouvant par la même manière qu’elle avait changer.
Toujours aveugle, elle avait changer, devenue plus mur, ayant moins peur de l’inconnus, des autres.

Souriante, elle s’approcha de la porte, ces yeux bleu aussi vide que la mort, se posèrent sur la porte, sans aucune hésitation, elle posa sa main sur l’arbre qui représentait son signe, son don, son pouvoir.
Sous sa main, elle sentit la porte s’ouvrire, dans un bruit sourd et paisible, si doux pour elle, elle avait l’impression de rentrer chez elle, d’être a ça place. De revenir chez elles après un long voyage.
D’un pas lent sur malgré sa cécité, accompagner de son loup, elle entra en douceur dans la citée, elle s’arrêta et respira profondément les odeur qu’elle pouvait atteindre, agréable tous sentait pareil, tout lui semblait pareil. D’un geste de la main, elle ordona a Mercure de rester tranquille, et de s’asseoir.

Faisant quelque pas seul, elle se sentit soudain bousculer, et tombât, trop dans la lune pur penser a se rattraper, comme si cela n’avait aucune espèce d’importance. Elle sentit la terre sous ces fesses, mais elle ne dit rien. Elle se contenta , de chercher un objet, un rouleau, qu’elle avait entendu rouler hors du sac pendant la chute, elle ne se souciait pas de la personne qui venait de la bousculer.
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MessageRetour au source  ~~Libre~~ EmptyLun 5 Mar 2007 - 14:09

Après plusieurs semaines de recherches elle était arrivée à la ville des magiciens, Elament. Il fallait bien dire qu'elle n'avait pas tellement eu le choix quant à la durée de son voyage, ou presque. Bien sûr, elle aurait pût s'y rendre rapidement depuis les cieux mais, prise d'une soudaine lubie, avait préféré gagner la cité par voie terrestre, armée d'une carte remise généreusement et avec gravité par la bibliothèque d'Otulin. Le problème était qu'elle avait perdu ladite carte en chemin, ou bien alors s'était-elle envolée tandis qu'Harmony caressait les cordes de son violon. Cela ne l'avait pas vraiment dérangée. En fait, elle s'était juste vaguement demandée quelle serait la réaction du conseil en apprenant la perte du précieux vélin, mais sans vraiment sentir les remords l'envahir : ce qui était fait était fait, et au pire ce n'était que de l'encre sur du cuire (du moins, d'après elle).

Elle avait alors flâné un peu à droite, un peu à gauche, se représentant dans divers château se trouvant sur ses pas afin de gagner gîte et couverts. La muse s'était laissée guider doucement, sans se soucier un seul instant du temps qu'elle perdait alors qu'elle aurait déjà dû être depuis une ou deux semaines à la cité. Quelle importance ? Les rumeurs l'emmenaient doucement, les témoignages lui indiquaient plus précisément le chemin, et c'est ainsi que son voyage se fit. Le plus embêtant aura été de traverser certaines contrée sauvages, là où la flore exubérante s'attachait dans ses cheveux [et ouai, c'est dure la vie XD]. Quant à la faune, mis à part les insectes et certains oiseaux elle n'en avait pas vraiment vu. Une chance d'ailleurs au vu des paysages : marais et bosquets éparpillés, environnement hostile. Mais elle s'était en quelque sorte forgée sa propre chance en chantant : les animaux et autres bêtes ne devaient pas avoir le même sens de l'art qu'elle. Elle avait juste aperçu une couleuvre se glisser a un moment devant elle, et poursuivre son chemin de l'autre côté.
Ce fût donc une partie monotone de son périple que ces étendus boueuses et ses choses se glissant avec délice dans ses cheveux et sous ses vêtements pour la grignoter un petit peu (des moustiques quoi !). Vint après un fleuve une foret, bien plus agréable (mais toujours pleins de petites bestioles), dont elle longea le bord pour arriver à un grand lac. De là, par bateau, elle traversa ses étendues d'un bleu chatoyant pour se rendre en face, à sa destination.
Dit comme ça, on pourrait penser qu'elle mit des semaines à patauger, mais il n'en fut rien. En fait, venant des Mont décharnés, elle avait traversé le cours les séparant des Marais de l'Oubli, puis avait parcouru ce dernier dans sa partie toute est en longeant quasiment le fleuve qu'elle venait de franchir. Puis elle avait encore une fois traversé une étendu liquide jusqu'à la Foret Dark, avait trouvé le lac et bon nombre de villages entre pour se débarrasser de l'odeur des marais, puis enfin la cité.


Quand elle était arrivé aux abord d'Elament, la jeune fille n'avait eu aucun doute quant au fait qu'elle était bien arrivée. Les vibrations étaient différentes, et si cela n'avait pas suffit l'imposante muraille et la porte ornementée aurait réussit à la convaincre. Elle avait d'abord examiné, perplexe, les gravures. Nul garde, nul loquet, voilà qui était inhabituel. Elle avait laissé ses doigts glisser sur les gracieux symboles, qui attiraient tellement le regard au milieu de ce bois massif et de ce fer.
Lorsque que quatre doigts furent passés sur la tornade, la porte s'ouvrit devant elle avec douceur. Elle avait laissé s'échapper un léger gloussement : ainsi il n'avait fallut que ça.

Elle entra sans crainte dans la ville, nullement impressionnée. Pourquoi l'aurait-elle été ? Même ci pour certain et aspect aurait pu évoquer une prison déguisé, l'ange ne s'en souciait pas. On lui avait dit d'aller ici, et c'est donc avec une innocente confiance qu'elle s'avançait en terrain inconnu, sans se soucier d'une quelconque agression malgré sa frêle apparence. Pourquoi et qui aurait-voulu l'agresser, de toute façon ? Et puis, territoire inconnu, tant que ça ? Pas tellement. Comme toute les autres villes, celle-ci grouillait de vie, et chacun apportait son lot de mouvement, d'odeur et surtout de son. C'était tout ce qu'il lui fallait : la ville elle même lui lançait son invitation en lui faisant entendre sa musique propre, née de ses habitants et de chaque personne foulant son sol. Certaines personnes y auraient vu un nouveau départ, pour elle s'était juste une partie de son existence qui allait se révéler plus ou moins intéressante.

Les portes derrières elle, elle s'arrêta quelques seconde. À droite, à gauche, tout droit ? Il lui fallait trouver l'école d'Elament, et aucun endroit se détachant particulièrement pour lui indiquer le chemin. Elle allait devoir demander à des gens. Pas de problème, jusque là. Oui mais quelle personne ? Tellement passaient devant, derrière elle ou sur ses côté, tandis qu'elle se tenait plantée au milieu. Lui peut-être ? Non déjà passé. Alors elle ? Non, elle n'avait pas l'air commode. Machinalement, la tête dans ses pensées, elle avançait droit devant elle, mais réussit néanmoins à s'arrêter avant de trébucher sur une jeune femme assise par terre. En fait, elle ne l'aurait sûrement pas remarqué si celle-ci n'avait pas posé -par inadvertance cela ne faisait aucun doute- sa main sur le mollet de la musicienne.
Harmony se pencha alors, intriguée, vers la personne qui l'avait arrêté.

"Qu'est-ce qu'il y a de si intéressant par terre ?"

Le ton n'était ni moqueur ni provocant. Non, il semblait bien qu'elle se demandait réellement ce que faisait la jeune fille au sol.

[Selene, si ça dérange que je dise que par inadvertance tu touches le bas de la jambe de mon perso, dit le ^-^". Mais j'ai pensé que comme elle cherchait à l'aveuglette, c'était un bon moyen "d'arrêter" mon perso =x]
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