La nuit commençait a tombée sur la forêt, envelopper dans sa cape la jeune Nymphe leva la tête, les étoiles ne brillaient et ne se voyant presque pas, la lune qui commençait à ce lever était rouge sang, signe que pendant la nuit une bataille avait eu lieux et beaucoup de sang avait était verser.

Ce signant la jeune femme retient ses larmes, espérant que les elfes de sa tribu avait réussi a s’échapper, du moins l’espérait elle, ferment les yeux la jeune femme respira doucement, elle avait été recueillie alors qu’elle était enfant par une tribu d’elfe. Les Elfes de la forêt noire, il l’avait élève et traiter comme l’une des leur.

Lui enseignant l’art de la médecine, le tira a l’arc, ce battre avec une épée et a communiquer avec la nature et les animaux, mais deux semaines auparavant la chamane du village était réunie le grand conseil, une menaça planait sur la tribu. Les grands sages avaient décider qu’il fallait envoyez tout les jeunes elfes à la cité d’Elément pour les protégés.

Angélique avait donc était désigné pour conduire les plus jeunes à la grande cité, mais alors qu’il n’était plus qu’a trois lieux de la cité il avait été attaqués par d’étrange créature, confiant les plus jeunes a Erind la jeune femme leur avait ordonner de fuir utilisent ses pouvoirs elle avait combattue et avait était légèrement blesser.

Arrivant devant les portes de la cité la jeune femme regarda avec tristesse s’était ici a présent qu’elle vivrait et qu’elle devait retrouvée ses compagnon, poussant un hennissement son cheval frappa le sol, caressant doucement la crinière de l’animal elle murmura :

-Tout doux Aquarelle.

Posant sa main sur le symbole de la terre la jeune femme regarda les portes s’ouvrir et entra dans la cité.

Ániëna marchait depuis plusieurs heures deja, le soleil laisserait bientot place à la lune. Le chemin avait été long et éprouvant depuis le monastère. Elle s'était perdue, avait été surprise par les intempéries, elle avait eu froid, faim et s'était sentie bien seule mais sa volonté n'avait jamais fléchie, il fallait qu'elle atteigne son but.

Elle leva la tête sortant de ses réveries, l'aura de la citée se faisait deja sentir. Au loin on pouvait aperçevoir un point noir, surement que c'était cette fameuse porte, elle devait etre immense.
Ániëna baissa les yeux sur sa tenue: sa longue cape à capuche était recouverte de poussiere, ses bottes semblaient sur le point de se disloquer. Poussant un soupir elle essaya comme elle put de chasser la terre de ses vetements, son apparance laissée à désirer, mais une fois à la cité elle se dépècherait de trouver des vètements neufs.
Quelques instants plus tard elle put admirer l'entrée de la cité. La porte semblait se perdre parmis le ciel et laissait deviner un travail titanesque au niveau de la creation et de la décoration de la part de ses createurs.
S'approchant encore, elle apperçut une jeune femme à cheval, celle ci tendit la main vers la gravure d'un arbre placé sur un battant de la porte. Un fois quelle se fut ouverte aprés ce contact, la femme disparut en peu de temps à l'interieur de la cité.

Ániëna avait suivit la scene des yeux, poussa un nouveau soupir et s'approcha à son tour de la porte. Elle aussi choisirait le symbole de l'arbre.
Etrangement au moment où elle touchait le symbole, sa pensée se tourna vers la monastère qu'elle avait quitté pour arriver ici, plus précisément vers son viel ami.

"J'aurais tant aimé que tu sois à mes côtés. "

Une force incroyable se fit sentir au bout de ses doigts, les yeux de la jeune dryade se plisèrent au moment d'entrer à son tour dans ce qui semblait être un nouveau monde.

A peine après avoir fait quelques pas dans la cité Angélique fit arrêter sa monture, bien qu’épuiser et blesser la jeune femme ce tenait droite sur sa monture, regardent autour d’elle avec méfiance, elle ne connaissait personne de la grande ville du moins elle ne se rappeler plus de personnes.

Angélique Black était déjà venue dans la grande ville, un an paravent elle avait étudier mais avait du repartir lorsqu’elle avait reçu une lettre de sa tutrice qui lui demander de revenir dans leur tribu.

Arrêtant son cheval Angélique lui parlait d’une étrange langue pour tenter de calmer l’angoisse de l’animal, portant sa main a sa taille la jeune femme vérifia qu’elle portait toujours sa bource et sa dague a la taille, sautant de cheval elle du se rattraper au rênes de l’animal pour évité de s’écrouler sur le sol.

Relevant la tête la jeune femme soupira, sa blessure était certainement plus sérieuse qu’elle ne l’avait cru, serrant sa cape autour d’elle, Angélique dissimula sa blessure pour être sur que personne ne la verrez et tenterait de l’attaquer pour lui voler sa bource.

Entendent la porte derrière elle s’ouvrir de nouveau Angélique se retourna une de ses mains dissimuler sous sa cape sur le paumo de son épée, voyant qu’il s’agissait d’une jeune femme Angélique ne fit rien mais préféra rester sur ses gardes.

-Bonjour.

Murmura t-elle d’une voix douce.

Passant la porte, elle se redressa tête haute, cette ville lui était inconnue mais elle espérait bien s'y faire une place.
Alors qu'elle avait enfin atteint le terme de son voyage, la fatigue accumulée durant ces dernieres semaines se firent sentir. Il lui fallait trouver un endroit où se nourir et se loger, et ce le plus vite possible.
Regardant autour d'elle elle fut un peu perdue, cette cité semblait si grande. Comment se repérer ?

Elle en était la de ses préocupations quand elle entendit une voix prés d'elle, se tournant vers son auteur, elle comprit que c'était bien à elle qu'on s'adressait. C'était la femme de tout à l'heure, descendut de son cheval, elle semblait aussi exténuée d'Ániëna.

" Salutations madame. "

S'inclinant, son regard parcourut rapidement la jeune femme. Elle était armée, jamais Ániëna n'avait pensé à prendre une armre, sa bétise la frappa soudainement. Enfin maintenant qu'elle était arrivée ici elle pourrait toujours utiliser son pouvoir pour se proteger.
Les lèvres pincées elle décida de continuer la conversation, seulement elle n'avait pas l'habitude de parler à des inconnus, surtout dans une situation aussi précaire.

" Je passe pour la premiere fois cette porte, avec un peu de chance, connaitriez vous un peu mieux que moi cette cité ? "

Elle savait que c'était impolie de garder sa capuche sur les yeux, mais cela lui apportait une sensation de protection.

Angélique observa la jeune femme pendant quelques secondes, le corps de la jeune femme semblait sur le point de se briser comme les fines branches des arbres dans les tempêtes, un visage fin, de grands yeux sombre, ses lèvres étaient si rouge qu’Angélique se demanda s’il ne s’agissait pas d’un vampire qui venait de prendre son déjeuné et chercher son désert mais elle abandonna rapidement cette idée.

-Je suis donc plus avantager que vous madame, car il ne s’agit pas de mon premier séjours ici, mais il y a un an que je n’ai mit les pieds dans la grande cité d’Eléments j’ai peur que mes souvenir ne soient assez ancien et que tout est changer ici.

Voyant qu’air épuiser de la jeune femme, Angélique décrocha une sacoche qui était attaché à sa monture, la tendent vers la jeune femme, Angélique murmura d’une voix douce :

-Vous semblez épuiser acqueceter de partager un peu d’eau et de nourriture en ma compagnie.

Angélique regarda la jeune femme en attendent sa réponse.

Ániëna fut déçue d'apprendre que l'expérience de la femme ne les aiderait pas, enfin peut etre que l'endroit n'avait pas tellement changé.Ce qui leur ferait gagner un temps précieux. Ses jambes étaient lourdes, la nuit approchait et une grande lassitude s'empara de la jeune femme.
Son regard se posa sur la saccoche qu'on lui tendait, mais elle ne fit pas mine de la prendre. Elle n'avait pas encore totalement confiance dans son interlocutrice puis elle eut une autre idée. Secouant la tête elle s'expliqua:

" Je pense que vous serez d'accord avec moi sur le fait que l'on mérite bien un repas et une boisson chaude, n'est ce pas ?
Mais avant de continuer plus en avant, je me dois de me présenter. Mon nom est Îffael. Mais étant pour l'instant ma seule connaissance dans cette ville, je vous laisserais m'appeler Ániëna, si vous le voulez. "

Elle s'inclina pour la seconde fois, peut etre que la jeune femme allait mal le prendre, mais Ániëna essayait de cacher le plus possible sa méfiance qui était chose courante chez elle. Fixant la femme, elle se demandait si celle ci allait lui donner son nom.
Mais elle espérait encore plus qu'elle accepta d'aller diner dans une auberge ou quelconque endroit pouvant leur servir quelque chose de chaud et de nourrissant.

Angélique ne fut qu’a moitié étonner que la jeune femme refusa de boire ce qu’elle lui avait proposer, il valait mieux être prudent, s’assoient auprès de la fontaine qui ce trouvait au centre de la place Angélique porta a ses lèvres l’eau qui la débarrassa du goût de la poussière de la route qui s’était installer dans sa gorge.

-Je suis d’accord avec vous mademoiselle, mais ma bource ne me permet que de me contenter que de ce que je possède.

Mordent dans un morceau de pain Angélique remit en place sa nourriture et sa boisson dans sa sacoche, ce tournant vers la jeune femme elle s’inclina a son tour et murmura :

-Je me nomme Angélique Séléné Black, je fais partie de la tribu des Elfes de la forêt noire bien qu’était une nymphe Oréade, vous pouvez m’appeler Angélique, ou Angie, je suis enchanté de faire votre connaissance Miss Ániëna.

Angélique regarda la jeune femme tout en restant méfiante, bien qu’elle s’était présenter elle préfère ce faire passer pour une simple voyageuse, et ne pas mentionner la perte de ses compagnon.

Elle hocha la tête en réponse à la jeune fille, toutes deux étaient restées vagues dans leur réponses chacunes préféraient garder pour elle la raison de leur venue en ces lieux.
La laissant se désaltérer, elle en profita pour regarder plus sérieusement autour d'elle, plusieures rues et ruelles partaient de la place où elle se trouvait. Certaines inscriptions semblaient inscrites à l'entrée de chaques passages, surement pour aider les visiteurs et habitants de la citée à se diriger. Les gens déambulaient encore, malgrés le fait que le soleil avait maintenant disparut, ils semblaient tous avoir un but précis et marchait sans faire attention à ce qui les entourait. Certaines inscriptions semblaient inscrites à l'entrée de chaques passages, surement pour aider les visiteurs et habitants de la citée à se diriger.
En attendant que la femme finisse son repas, elle posa son sac au sol et chercha à l'intérieur pour en sortir une bourse, regardant distraitement à l'interieur elle la referma pour la ranger dans sa poche.
Son sac à nouveau sur le dos elle s'étira les muscles du cou.

" Quant à ma bourse elle me permet de vous inviter au moins à prendre une petite collation quelque part. Puis il faudra bien que vous trouviez un endroit où faire reposer votre cheval, ainsi que vous meme.
Une bonne adresse vous reviendrait-elle en mémoire ? "

Aniëna montra qu'elle ne voulait pas rester sur cette place éternelement, si la jeune femme n'acceptait pas son invitation, elle partirait donc seule à la recherche d'un lit et d'un repas.

Angélique bien que parlant avec la jeune femme, gardait tout ses sens en éveille, son sixième sens l’a prévenait d’un danger, lançant des coups d’œil discret autour d’elle, elle regardait surtout les personnes qui se dissimulaient dans l’ombre. Emetant un légère son la jeune femme fit comprendre a sa monture de rester sur ses gardes et de ne pas hésiter a mordre les personnes qui pourraient vouloir s’en prendre a elles.

Lorsque Ániëna Îffael lui proposa de l’invité Angélique ne put s’empêcher de rougir, évitant son regarda la jeune femme avait l’impression être prise en pitié.

-Je vous remercie Ániëna Îffael mais je ne souhaite pas vous faire dépensez votre argent vous en aurait besoin ici.

Caressant son cheval elle murmura doucement :

-Il est vrai que Donas a besoin de repos.

Entendent le nom par le quel sa maîtresse venait de l’appeler l’animal émit un hennissement joyeux ce qui fit éclater de rire sa maîtresse.

-Au faite permettais moi de vous présenter Aquarelle, mais je l’appelle souvent Donas ce qui veux dire démon en gaélique car s’est une fidèle compagne dans les combats. Et la chose qui ce cache dans cette sacoche et Blondin.

Entendent son nom le petit fennec sortie sa tête et poussa un aboiement joyeux.

-Permettez moi de payer la moitie du repas. Il y a une auberge pas loin qui ce nomme Aux mille et une saveurs, s’est un très bon restaurant.

Aniëna haussa un sourcil en voyant rougir la jeune femme, elle comprit qu'Angélique s'était sentie génée par sa proposition.
Seulement ce n'était pas dans l'habitude de la dryade de prendre en pitié ceux qui l'entourait. On lui avait tout simplement apprit à etre généreux et à savoir partager les biens qu'elle possédait, cela pouvait étonner car cela contrastait avec sa froideur apparante.

"Si je vous propose cela, c'est que ça ne me pose aucun probleme. "

Considérant l'affaire comme close, elle s'interessa aux compagnons de la jeune fille, son regard s'attendrit légèrement devant les deux bêtes, elle trouvait les cheveaux vraiment magnifiques, si puissants et gracieux à la fois, seulement elle n'avait jamais eu la chance de monter à cheval.
Son regard se posa alors sur " la chose " à l'interieur de la sacoche. Intriguée elle voulut demander ce que c'était que cet animal mais elle préféra ne pas montrer son ignorance.
Aniëna fut soulagée quand Angélique lui parla d'un restaurants à l'enseigne prometeuse.

" Je vous laisse me guider mademoiselle, je vous remercie infiement de m'éviter d'avoir à errer dans cette grande cité. "

Lui faisant signe qu'elle était prête à partir, elle jeta un dernier coup d'oeil à l'énorme porte qui les dominait et dit dieux à tout ce qui ce trouvait derriere. Tirant sa capuche un peu plus sur son visage, elle murmura une petite prière destiné à une personne qui lui manquerait cruellement.

Lorsque Angélique s’aperçu que sa compagne ne lui proposais pas la charité la jeune femme ce sentit soulager et moins gêner, la regardant elle lui sourire :

-Je vous remercie pour votre invitation.

Caressant son cheval, celui-ci posa sa tête sur l’épaule de sa maîtresse, donnant un léger coup de tête a Angélique l’animal fit comprendre a sa maîtresse qu’il était trop épuiser pour porter deux personnes, caressant les naseaux de l’animal Angélique ce tourna vers Ániëna Îffael.

-Souhaitez vous montez a cheval ? Personnellement je marcherais à vos cotés, car j’ai passé un peu drop d’heure assise sur son dos à mon goût.

Regardent son fennec Angélique siffla doucement un petit air qu’elle avait apprit lorsqu’elle était enfant avec l’elfe responsable des animaux, aussitôt Blondin sauta de sa sacoche et ce mit au pied de sa maîtresse

-Les fennec sont des renards des sables, ils sont plus intelligent que les regard des villes et plus obéissent enfin pour celui-ci la règle est fausse.

Souriant Angélique repoussa une mèche de ses cheveux qui lui tombait devant les yeux.

-Suivez moi s’est par ici.

Resserrant sa cape sur ses épaules la jeune femme ce mit en route avec ses compagnons et Ániëna Îffael.

Hj : je crée le sujet au Aux mille et une saveurs ?

Aniëna secoua la tête à la proposition d'Angélique, elle aurait accepté avec plaisir de monté pour la premiere fois sur un cheval aussi magnifique, mais elle ne se sentait pas la force de tenter l'avanture.
Elle se plaça à la droite de la jeune femme et de son fennec.

" Par chez moi il n'y a pas de renard ... c'est un animal bien étrange. Il faudra que vous m'en parliez quand nous seront reposée.
Je suis une dryade venant du nord, j'ai vécu dans un monastere la plus grande partie de ma vie, alors je vous pris de m'excuser si je n'ai pas l'habitude des conversations anodines. "

Effectivement Aniëna ne savait comment se comporter, souvent elle s'aperçevait qu'elle disait des choses qui pouvaient largement porter à confusion. Elle faisait des efforts, parlait d'elle meme était deja quelque chose de positif.
En y pensant, elle savait qu'elle avait eu d ela chance de tomber aussi vite sur une personne amicale, en conséquence elle essayait de se montrer la plus ouverte possible.

" Je vous suis ... "

Ses talons claquerent sur les pavets, parcourant les rues elle regardant autour d'elle, essayant de graver dans sa mémoires les différentes échoppes qu'elle rencontrait, ça pouvait toujours lui etre utiles. Mais c'est surtout que on sens de l'orientation en ville laissait à désirer.

[ Je t'en pris, merci ]