Willow partis se promener dans le parc pour prendre un peu l'air. Il ne se sentais pas trés bien, il était mélancolique. Aujourd'hui c'était l'anniversaire de mort de ses parents et de sa soeur. Il voulais etre seul pour réfléchir, se rappellé des bon moments avec eux et puis pleurer sans retenus, sans que quelqu'un le voit et le juge. Willow s'était montré fort, courageux, et avec une joie de vivre quotidienne avec tout ces camarade, qu'il ne voulais pas qu'il le voit dans ce moment de faiblesse qu'il traversait.

Puis d'un seul coup Willow se retrouva sous la pluie sans abri a l'horizon car trop loin du chateau. Heuresement qu'il avait apporté son manteau, long, noir avec capuche pour le protégé. Apres avoir attendus, prés du lac plusieurs minutes que la pluie s'arrete, Willow décida, voyant que cette dernière continuais de plus bel, de retourné au chateaux.

Durant son retour, il n'arrivait pas a secher ses larmes. Ses pleures était comme entretenus pas ses pas. Il ne voulais pas que quelqu'un le vois comme cela. Il vit alors un abris prés du lac et s'y précipita.
Arrivé la-bas, il entendait en un silence qui l'appaisa.


- " Salut ... heu ... "

Willow se retourné et il vit un Griffys derrère lui, assise sur un banc. Quand il se retourna, il avait toujours des larme sur le visage. Il espérait fortement que la Sang et Or ne le vit pas pleurer.

- " Bonjour " lui répondis Willow de suite avec une voix un peu éteinte. " Que fait tu ici par ce temps de chien ?? "

Willow voyait que la Griffondore était géné, mais voulais apprendre a la connaitre. Ce n'était pas tout les jours qu'il rencontrais des personnes qu'il n'avait jamais ou presque jamais vu depuis qu'il était en étude Magique.

Lord Arthas, un jeune adulte, guerrier amateur maniant plutot bien l'épée était dans un petit bars à shaloa, il était seul sur son banc, avec une bouteille de whisky, encore pleine(Arthas n'était pas vraiment un habitué à l'alcool, c'était plus une excuse pour etre dans un bar qu'il avait acheter cette bouteille), esseyant de tuer l'ennuie en preparant un plan misterieux, on aurait dit qu'il avait quelque chose en tete, esperant un jour trouvé un ami pouvant l'aidé...

Corbeau était posé contre un arbre... une guitare entre les mains, ses doigs se baladants sur les cordes... la musique était assez mélancolique. C'est alors qu'il s'arrêta... un bruit non loin de lui l'alerta.

Dans les ruelles sombres de Shaloa, une jeune fille se promenait sous les trombes d’eau, une cigarette à la bouche. Son manteau de cuir, virevoltait sous les bourrasques de vent. Elle avançait d’une démarche féline et assurée. Ce soir elle avait des comptes à règles.
-Aller sale, chien ou te cache tu….
Aucune réponse. Elle s’arrêta, regarda le ciel éden parsemer d’étoile. Quand elle vit une silhouette passer au dessus de ça tête.
Au même moment un humain l’accosta.
-Et dit donc fillette tu devrais pas traîner là.
L’homme allait mettre ses mains sur les hanches de la jeune fille qui contemplait toujours le ciel. Sans prévenir elle lui pris les bras le colla contre le mur et le mordit dans le cou.
Elle lâcha le corps sans vie et s’essuya la bouche.
-Merci pour l’info.
Elle tira une bouffé sur sa cigarette avant de décider de suivre cet ange noir.
Après quelques lieux elle le vit se poser. Elle observant derrière un fourrée elle distingua avec facilité quelque vampire et un Lycan.
« Mmmm non c’est pas celui que je recherche. »

Cela faisait maintenant plusieurs heures que la princesse Kuru s’agitait dans son immense lit en baldaquin. Les draps de soie immaculée formant de curieux tumultes avec les mers insondables que recréaient ses longs cheveux châtains défaits sur son visage.
La fenêtre avare venait à peine de livrer les premiers rayons de l’aube nouvelle, pour jouer dans la pièce quelques dessins d’ombres et de lumières sur le corps endormi.
Aucun son ne sortait de sa bouche délicate, crispée par les effets de ses songes, une main sur son front pour vérifier encore qu’elle n’était pas fiévreuse.
J’étais là et seul à veiller sur elle, quand soudain elle émergeât dans un fracas feutré de son onirisme.

-« Où suis-je?? » aligna t’elle à moitié comateuse.

Presque assise dans son trop grand lit de chêne, la couverture distraitement tombée sur ses hanches, elle laissait maintenant découvrir une ravissante robe de chambre avec des petits cœurs rouges partout.
Puis dans un regard semi circulaire comme pour se réapproprier ses lieux familiers, elle posa enfin ses yeux sur moi.
Je me tenais debout comme l’exige la politesse, ses deux yeux clignant anarchiquement dans ma direction je me fis la grâce inutile de lui répondre.

-« Tu es dans ton château, dans ta chambre…»

Elle pose enfin un regard sur elle, comme pour se recentrer enfin dans le présent, ses yeux reflétant une multitude de petits cœurs, elle rougit un moment avant de déclamer.

-« Je le vois bien, mais, qu'est-ce que tu regardes ? »

C’est son éternel sujet d’amusement, mais je ne me fait pas avoir par l’illusion et je prends cette phrase comme le plus charmant des bonjours.
Et pendant qu’elle s’enturbanne avec ses draps en une savante momie, moi de lui répondre.

-« Tu as bien dormis ? »

-« Pas vraiment, tu as du me veiller toute la nuit, il ne fallait pas... » dit-elle de sa petite voix.

Ses yeux s’étaient déchargés à nouveau sur moi, en quittant son activité puérile elle avait laissé comme par un oubli travaillé une épaule découverte.

Moi de lui raconter comment je l’avais trouvé sur les routes alors que je ressentais le besoin de revenir au château, un de ses appels pressant et prescient dont j’ai parfois l’habitude depuis que j’étais son ange gardien.
Qu’on l’avait mise au lit sans délais et avec une pointe d’ironie dans la voie, que c’était bien ses servantes et non moi qui s’étaient chargées de cette tâche.
Que je m’étais confié la mission au combien difficile de veiller sur une princesse endormie et que j'avais accessoirement pris la peine de lui guérir une petite blessure au doigt.

-« Puis je savoir ce que tu faisais seule, allongée sur le sol, non loin d’une montagne de gravats et en pleine nuit ? »

Le ton était d’une inquisition monocorde mais ne se voulait pas pour autant paternel. Depuis la disparition de l’ange des silences, je ne voulais pas qu’elle perçoive ma peine de l’avoir sût en danger mortel.

-« en pleine nuit… »

Elle semblait ramener à elle ses souvenirs comme le font les pécheurs de Portlabor avec leurs filets.