Qui pouvait deviner, à ces heures perdus, ce que pouvait murmurer le vent de manière si ardus. Un secret défendu ou un amour déchu.? Chose sûr, c'est que la plus douce musique du monde pouvait très bien devenir la plus grande démonstration d'une force surhumaine.
Elle avait choisie ce lieu car il était reculé. Le besoin qu'elle avait de devoir s'habituer devenait toujours impératif quand la population d'un endroit était trop élevée pour son métabolisme. Elle qui était habituer au calme de la forêt et au chant des sirènes.
Ses ailes entre ouverte berçaient doucement à cause des rafale d'air qui parcourait ça et là le couloir de la tour où elle se trouvait. Malgré toute sa présence, elle semblait plus anodine en cette endroit que la dernière des souries et même son habillement ne semblait pas convenir à la grande bâtisse de pierre. Cas cela ne tienne, elle n'en avait que faire. Même si son appartenance était la terre, elle n'en restait pas moins une créature du vent.
Fermant les yeux, elle laissa, malgré son masque, le vent souffler autant son visage que dans ses cheveux, sur ses épaules et à la surface de ses bras. Qu'elle délice... Aucune caresse de main ne serait être plus douce et ferme.
Quoiqu'il en soit.
Elle se demandait bien comment était cette ville, si en temps de guerre, elle devenait sauvage ou si les gens, prisent d'une soudaine conscience, s'entraidaient. Dégagent une mèche de son visage, elle continua à chercher une réponse à sa question alors que le ciel, nimbé de nuage blanc, semblait être le produit d'un artiste du fusain qui ce serait amusé à décolorer le noir jusqu'au plus pâle gris.
