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 Un arbre parmis tant d'autre ** 1place libre**

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MessageUn arbre parmis tant d'autre ** 1place libre** EmptyLun 19 Fév 2007 - 10:33

1Er jour arrivée
Selene arrive devant un immense forets où elle se sent immediatement a l'abris.
Elle y pénètres très rapidement car son guide Ashara l'attend pour aller en cour.
Elle ressens les arbre lui parler comme a une amie. Cela faisait quelque minute qu'elle déambulait dan la forêts, autour d'elle elle entendais les gens marcher parler, changer de place, danser même.
Soudain elle senti une légère branche lui caresser l'épaule.
Elle eu un petit sursaut mais elle suivit quand même cette branche.
L'arbre qu'elle avais choisit étais un saule pleureur enfin si on peut dire qu c'est elle qu'il la choisit.
C'étais un saule pleureur, il n'étais pas très haut par rapport a d'autre .
Les branche principale formais un plate forme sur laquelle étais nichée un jolie petite cabane qui pouvais accueillir deux personnes.
Les branche de l'arbre tombait sur le sol et formait comme un dôme de verdure. Ce dôme donnait l'impression d'être dans un bulle de protection.
Guidée par la branche de l'arbre elle s'approcha du tronc quand elle le toucha celui ci forma un escalier en spirale qui s'enroula autour de l'arbre pour facilité la montée
Mercure qui n'étais pas très rassuré par la hauteur gémis doucement.
Selene le caressa doucement et longuement et enfin elle le convint de monter. Au moin pour la prochaine fois


" Mercure je pourrais peut être demander a l'arbre de te faire un niche dans son tronc mais aujourd'hui je suis pressée alors n'ai pas peur et viens avec moi"

La cabane étais en rondin et se confondait avec la ramure de l'arbre. On rentrait dans la cabane directement par l'escalier mais a l'arrière il y avais un plate forme qui permet d'acceder au branche extérieur et de profiter de l'air pur et de la vue enfin pour les autre car Selene ne se repais que des bruit
La pièces devait étres grandes avec au moins deux places elle entendait les vibration de la pièces quand elle marcha.
Les mur étais couvert de branches d'arbres qui formait le tapis le sol étais en parquet bru agréable a sentir pour quelqu’un qui est Terra
Sélene parcourut la pièce a tâtons et découvrit un armoire au porte ciselée ces doigt la parcourue et lui dise que l'armoire étais gravée de loup et de forets.
Elle l'ouvrit et posa son sac qui contenais c'est pauvres Habit
Et elle sortit vite de sa cabane , dégringola les marches avec Mercure.
Arrivée a la limite des branches elle sentit le rideaux de branches qui s'écarta et elle murmura


"Merci de m'acceuillir en toi "

Et elle continua a courir jusqu'a ce qu'elle retrouve Ashara et pour aller le plus vite possible au cour. Elle sentais que mercure étais heureux, elle le sentait sautiller autour d'elle comme un chiot et pourtant elle le sentait attentive a la guider correctement. Bref elle étais heureuse d'être ici.

Aujourd’hui.

Selene revenait d’un voyage un peu étrange pour elle, après avoir cru mourir, après avoir crut se perdre pour toujours elle était de retour dans le dortoir, dans la ville même si elle ne savait pas pourquoi elle était revenue, son chemin l’avait conduit ici.
C’est avec plaisir que la jeune femme sentit l’air des dortoir, leur senteur boisée, la tranquillité des arbre qui se trouvait autour d’elle, elle pouvait sentir leur pulsation, si elle fermait les yeux et se laissait aller, tous cela était tellement agréable. Elle eu un petit sourire a Mercure, qui gambadait légèrement devant elle, ici elle n’avait pas besoin de son aide, les dortoir elle les connaissait par cœur, a pas lent mais souple la jeune femme se dirigea vers le saule pleureur qui faisait sa maison, quand les feuilles s’écartèrent devant elle, la jeune fée sourit, qu’elle plaisir de revenir ici.
Avec le sourire elle monta le long de l’escalier que faisait l’arbre, enfin elle pénétra dans la pièce, rien ne semblait avoir changer, elle posa sa mains sur l’armoire qui se trouvait toujours a la même place, avec douceur elle l’ouvrit et rangea son sac.
Doucement elle s’approcha de son bureau et possa sa main sur la mur, aussitô les souvenir affluérent.

Flash Back


Selene revenait des cour la journée avait été épuisante faite de nouvelle expérience. En plus de tous les nouveau cours qu'elle avait eu elle avait fait l'acquisition d'un nouvelle amis. Silia la jeune dragonne, elle étais de couleur jaune et n'avait que 5 mois.
Bien qu'elle n'aie qu'une envie celle de dormir.
Elle devait encore faire de trois chose.
tous d'abord la niches de Mercure et puis 'occuper de son nouveau compagnon.

Elle s'agenouilla près de mercure et lui dit

"Si tu veut aller faire un tour vas y mais ne sort pas de la foret, ca peut être dangereux comprit"

Mercure lécha la figure de Selene avant de partir

*j'espere qui ne lui arriva rien, Bon au travail*

Selene s'approcha du tronc et posa y main
Elle se concentra un instant et elle s'imagina un niche douillet assez grand .
Peut a peu elle sentit le tronc s'ouvrir sous sa main. La niche étais très belle juste a la taille de Mercure avec un litière de feuille bien douillettes.

* Parfait, il sera bien ici.

selene monta alors dans sa chambre, posa son jeune dragon par terre. Elle se déshabilla et se vêtis d'une robe de nuit en soie la seule qu'elle avait.
Cette robe blanche assez volante lui donnait l'impression d'être un fantôme.
Elle nourrit Silia et lui donna le médicament qui l'empêchait d'éternuer.

Ensuite elle s'approcha du mur qui se trouvait près de son lit et posa la main dessus et un nouvelle fois elle fis fonctionne son pouvoir.
Et elle écrivit en relief les mots suivant.


Code:
Pour SILIA
La nourris le soir avant qu'elle se couche, pour qu'elle dorme mieux.
Le matin, lui donner un truc léger, un ou deux petits bouts de viandes pas plus.
a midi, ne rien lui donner a manger!!!
Pour ce qui est de son entretien,
lui donne le liquide rouge toutes les deux semaines.
Toutes les deux semaines, donner un petit coup de brosse,
Si elle a des problèmes de santé aller voir Ilanae .
Bien, il faut lui faire faire un petit peu d'exercice!!La faire un peu couvrire ou va faire une balade une fois de temps en temp.

Important, il faut l'entraîner a voler tout les jours!!! Pour cela, sort dehors et lance des morceaux de viande en l'air ou encore, accroche les bouts de viandes a une grande perche pour qu'elle doive voler pour l'attraper.

 Il faut lui donner un comprimé d'euxostaphrame tout les jour jusqu'a ce qu'elle ne soit plus enrhumée. Les comprimé sont mis dans un petit pot.

Et pour le dressage, l'amené une fois par semaine a la griffe du dragon. N'importe quelle jour .

Ensuite elle se rapprocha de la porte qui conduisait a la fenêtre et respira un bon coup.
elle parla a voix haute pour que le jeune dragon prenne l'habitude de la reconnaître.

" hummm que ça sens bon, j'adore être ici, je sens que je vais y être bien, j'ai envie de danser mais mes jambes ne me porte plus je vais aller me coucher. Bonne nuit petite Silia"

et elle s'écroula sur le lit endormie


Fin du Flash

La jeune femme sourit doucement cela faisait tellement longtemps que tous cela c’était passer, il lui semblait que cela faisait une éterniter, comme si plus rien n’était pareil. Sillia avait tellement grandit, a présent elle pouvait la porter sur son dos, elle se rappelle encore l’époque ou elle devait la porter pour marcher. Selene eu un petit rire, ici elle se sentait en sécurité ; a l’aise, presque autant quand dans son village, où les fée des neiges l’avait enfin acceptée, mais a présent elle savait que sa place était dans cette école. C’est vrai elle en avait fait des progrès depuis son arrivée, mais il lui restait encore tellement de chose a faire qu’elle ne savait pas par quoi commencer.
Bon alors si on dormait simplement, avec plaisir elle laissa tomber ces vêtements au sol, puis elle se laissa tomber dans son lit ou elle s’endormit tous de suite, sombrant dans un sommeil sans rêves.
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MessageUn arbre parmis tant d'autre ** 1place libre** EmptyLun 19 Fév 2007 - 15:49

Minilya était fatiguée, elle avait parcourut bien des kilomètres à visiter la Cité, mais ce n’était pas cela qui l’avait épuisée ; c’était de voir tant de personnes qui avait demandé autant d’énergie, elle était habituée aux voyages, mais pas à être sociable et avoir rencontré tant de personnalités différentes la faisait remettre en question la raison même de sa présence. Ereintée, elle avait finalement choisi de venir en ce repère, on le lui avait indiqué et elle ne pensait plus qu’à un petit endroit douillet où elle pourrait dormir et où elle n’aurait pas besoin de se prendre la tête.
Elle passa à côté de chênes, hauts, forts, imposants et fût tentée de se réfugier dans l’un d’entre eux, mais elle continua, elle ne se sentait pas prête à s’installer dans un abri de cette taille qui attirerait d’autre gens. Non, elle avait besoin de quelque d’assez petit,où elle pourrait être seule avec elle-même. Où elle pourrait donner libre cours à sa frustration, où elle n’aurait pas besoin de se retenir car la jeune Vélane abritait en elle une personnalité qu’elle se devait de contenir à tout moment.

Elle arriva à un endroit plus reculé, cela lui plaisait déjà plus et qui invitait le silence, le repos. Des saules pleureurs, elle leva ses yeux, et vit une de ces petites cabanes. Oui, petit, parfait pour elle, elle serait tranquille là-haut.
Elle s’élança, grimpant avec aise l’escalier étroit que seuls les Terras pouvaient escalader sans encombres. Arrivée au haut de la cabane, elle se retourna. La vue était prenante, elle abaissa la capuche, libérant ses long cheveux noirs. Elle regarda autour d’elle pendant quelques instants, imprimant ce qu’elle voyait dans sa mémoire.


« C’est quoi, ça ? »
Minilya s’exclama avec surprise. Un tas de vêtements par terre. Ce qui la choquait le plus n’était pas qu’elle n’était pas seule, comme elle pensait qu’elle le serait, mais qu’elle venait de pénétrer dans la chambre de quelqu’un aux manières aussi rustiques. La Vélane regarda autour d’elle, une fille était dans un lit, un peu plus loin, il y avait un autre lit, Minilya n’en revenait pas. Cette toute petite maisonnette n’était certainement pas assez grande pour deux.

**Tu es tombée bien bas Minilya. Regardes-moi ça, en plus d’avoir à te rabaisser au niveau de ces gens, tu vas vivre avec eux ?**


La Vélane fixa le tas de vêtements, elle ne s’était pas encore dévêtue de son manteau. Peut être devrait-elle juste s’en aller avant que ce personnage aux manières tristes ne se réveille ? Les yeux de Minilya balayèrent la chambre, elle sortit de la chambre, et pénétra dans l’espace qui pouvait être considéré comme le salon. Elle était trop fatiguée, elle règlerait ce problème plus tard.

Après avoir visité l’étroite cabane, elle posa ses affaires dans un coin. Elle hébergerait ici pour la nuit, elle ne craignait rien de cette personne. Minilya se dévêtit, mais enfila aussitôt d’une nuisette. Elle s’allongea dans le lit libre, mais ne parvenait pas à trouver le sommeil. Alors elle se contenta de rester immobile, il faisait noir, mais ses yeux qui s’étaient habitués à l’obscurité voyaient clairement qu’il y avait un animal tassé non loin.

Du temps s’écoula, elle ne s’endormait toujours pas, alors elle se leva et enfila une robe de chambre, les franges étaient en fourrure blanche et le tissu était blanc. Minilya fixa le lit défait et après quelques instants le fit. Elle laissa derrière elle seulement ses habits nettement pliés sur le bord du lit. En attenant que le sommeil lui vienne elle se décida à faire ce qu’elle savait faire de mieux : de la musique.
Elle s’était assise sur un fauteuil et tenait sa lyre en main, sa main commença à caresser les cordes, elle n’osait les pincer entièrement comme elle se le devait, elle pouvait réveiller l’inconnue qui habitait ici. Mais sous peu, Minilya se laissa emporter et la musique commença à raisonner dans la pièce.
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MessageUn arbre parmis tant d'autre ** 1place libre** EmptyLun 19 Fév 2007 - 16:28

Dormir dans un lit aussi douillet depuis combien de temps ne l’avait t’elle pus fait, depuis combien de temps n’avait t’elle plus sentit la douceur des couverture sur elle, même si elle avait un peu chaud la jeune femme dormait comme un bébé dans se lit douillet, un peu comme si elle se trouvait dans un cocon de douceur qu’elle ne voulait pas casser, qu’elle ne voulait pas briser, elle savait qu’ici elle ne risquait rien, qu’elle pouvait rester calme sans devoir être sur ces gardes.
2trange il lui semblait avoir entendu un bruit, doucement elle bougea dans son sommeil sans qu’elle ne sache pourquoi, Mercure n’avait pas bouger, ne l’avait pas prévenu, c’était donc qu’elle ne risquait rien , qu’elle n’avait pas a avoir peur, qu’elle pouvait continuer a dormir tranquille.
C’était étrange quand on savait que des fois elle avait le sommeil aussi léger que les ailes d’un papillon alors que là elle se laissait aller complètement au sommeil, même une hordes de dinosaure ne l’aurait pas réveillée. Pourtant un simple cris de Mercure l’aurait fait bondir hors du lit pour se défendre, simplement vêtue de ses sous-vêtements en dentelle noir.
LA jeune femme dormait toujours dans son lit a baldaquin, qu’elle avait acheter il y a tellement longtemps, de la toile blanche, si douce et légèrement qui quand elle bougeai lui donnait l’impression de dormir en forets, elle adorait ce lit, avec ce qu’il dégageait et ce qu’il disait, le bois était vieux et quand elle dormait elle rêvait de sa vie, de ce qu’il avait vu c’était assez étrange mais c’était ainsi elle adorait cette sensation, d’être vivante.

Pour elle le monde dans le qu’elle elle était n’avait plus d’importance, seul les rêves avait de l’importance, c’est la qu’elle pouvait revoir les traits de sa mère, qu’elle pouvait l’entendre jouer, chanter doucement comme quand elle était toute petit, son épée était un cadeaux de sa mère qu’elle avait oublier, un sort avait été jeter sur sa mémoire et quand elle était consciente, il l’empêchait de voir le visage de sa mère mais pour l’instant dans son sommeil elle pouvait la voir.
La jeune femme n’avait conscience de rien. Mais au contraire Mercure le grand loup blanc avait vut la jeune femme monter, un peu a la manière des chien de garde il l’avait suivie, et s’était tapis prés du lit de sa maîtresse, ces yeux noir fixer sur la jeune femme qu’il ne lâchait pas du regard, plus question pour lui de dormir, tant que sa maîtresse n’aurait pas prit conscience de la présence de cette jeune femme qui venait s’installer avec elle.

Le loup était la silencieux mais présent, il observait le moindre mouvement de la jeune femme de ces yeux attentif, qui pouvait soit agressif soit très doux. Il regard a la jeune femme se lever et aller dans le salon.
Soudain dans son lit l’aveugle bougea doucement quelque chose venait a ses oreilles un musique, douce et si bien jouée qu’elle sourit doucement, ouvrant ces yeux sans voir quelque chose de plus, normale en étant aveugle même si tu ouvre les yeux tu ne voit rien.
Si elle ne se trompait pas c’était de la lyre que la jeune femme jouait, elle savait que c’était un femme car a l’instant ou elle s’était réveillée Mercure lui avait dit.
Discrètement elle se leva et passa un peignoir en soie blanche. Elle fit quelque pas , puis comme elle en avait l’habitude elle se laissa porter par la musique, a ses lèvres se formèrent quelque notes qu’elle laissa s’échapper.


« Sanomi helé
Manilla keranu
Aliya irema nia lago
Ture madilé
Sanomi helé
Manilla keranu
Aliya irema nia madilé
Kenatu narilé
Lakenatu narilé
Pasema niamo ture saro
Delamaoré »


La jeune femme suivait le ton de la musique que jouait la jeune femme, en marchant doucement vers elle, un sourire étrange au lèvres, ni agressif, ni doux, non un simple sourire comme si elle prenait plaisir a chanter. D’ailleurs la jeune femme chantait bien, elle chantait avec son cœur et ces tripes. Cherchant de la mains un fauteuil inoccupé, elle s’y laissa tomber en souplesse, Mercure venait de s’asseoir prés d’elle, et elle posa sa mains sur son échine qu’elle caressa en douceur. Elle savait qu’avec ces vêtements blanc, sa peau pâle ces cheveux d’argent elle ressemblait un peu a un fantôme mais cela ne la gênait en aucune manière.

« Vous jouez magnifiquement. »

La jeune femme parlait d’une voie douce, assez basse, ce qui était sa voie habituelle.
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MessageUn arbre parmis tant d'autre ** 1place libre** EmptyLun 19 Fév 2007 - 20:49

Minilya n’interrompit pas sa musique tout de suite, elle avait entendu bouger dans la chambre, mais seule sa musique comptait et elle vivait au travers sa musique. Ces émotions qu’elle ne pouvait ressentir, elle pouvait au moins y aspirer et cela au travers la musique qu’elle jouait. Elle leva les yeux lorsque les paroles de ce chant sacré lui parvinrent aux oreilles. Déjà elle avait de l’estime pour la créature qui se tenait devant elle. Minilya joua jusqu’à ce que le chant s’arrête, puis vit que ce qu’elle avait plus tôt prit pour un chien était un loup. Son regard se dirigea ensuite vers cette femme, elle était si belle, resplendissante dans cette beauté blanche. La Vélane ne se leva pas parce que la jeune femme prit place.

« Merci. Et vous avez une voix magnifique. »

Minilya aussi parlait d’une voix douce, mais sa voix chantait, allongeant voyelles et son accent arrondissait les consonnes, rendant certains sons moins hargneux ou agressifs. Du moins, ces sons le paraissaient à elle, qui avait grandi loin de cette terre étrange dont elle ne connaissait encore rien.

Elle laissa le silence les envelopper, elle le faisait toujours. Elles était fascinée par la femme qui lui faisait face, Minilya s’était adaptée à l’obscurité et celle-ci ne la gênait nullement, cela devait probablement être aussi la cas de…


**Non, regardes comme elle cherche.**

Minilya avait d’abord pris ce geste de la main comme une manière se de rassurer, peut être venait-elle d’un pays où il était bien vu de se tenir aux meubles entourant, mais visiblement la main caressa le fauteuil, comme si elle cherchait un repère. Puis, elle s’y laissa glisser. Tout s’était fait avec grâce et finesse, mais qui mieux que la Vélane ne pourrait noter ce genre de détails ?

« Vous ai-je réveillée ? »

Il était rare que Minilya demande pardon, et cependant elle le faisait. Bien entendu, jamais elle ne le dirait directement car la bienséance disait qu’elle n’avait jamais à s’excuser de par sa position. Mais elle était en tort, son instrument avait probablement dû être la cause du réveil de cette charmante personne. Et Minilya s’était laissée séduite par cette aura si paisible qui se dégageait d’elle.

Depuis qu’elle était arrivée, Minilya n’avait pu trouver réponses aux questions qu’elle avait, découvrant toujours d’avantages de questions. Mais elle savait que les réponses viendraient en bonne et due heure. Pour l’instant, elle se contenta de fixer cette personne. Des questions se bousculaient déjà dans sa tête. De quelle race était-elle ? Est-ce que tous de sa race étaient aveugles comme elle l’était ? Y avait-il quelque chose de particulier par rapport à ce loup qui la regardait d’un air intelligent ? Et d’où connaissait-elle cette chanson ?
Mais aucune de ces questions ne franchirent les lèvres de Minilya qui savait bien que cela serait malpoli vis-à-vis de la jeune femme qui avait eu la gentillesse de joindre sa voix au son que produisaient les cordes de sa lyre.

Elle attendit patiemment la réponse que lui donnerait cette personne avec laquelle elle partageait cet abri, consciente qu’elle était en faute. Désirant tout de même produire un meilleur premier effet, elle hocha gracieusement de la tête.


« Je ne voulais troubler votre sommeil, cet air à un effet apaisant sur moi et je ne pensais pas qu’il vous tirerait de votre sommeil. »

**Et voilà ! Tu l’as fait ! Tu t’es encore rabaissée devant une inconnue, une étrangère ! N’apprendras-tu jamais Minilya ? **

« Je suis consciente que cette situation n’est pas idéale, mais je suis enchantée. Je me prénomme Minilya. »

Minilya avait ignoré la voix qui s’était élevée en elle, elle en avait l’habitude et l’ignorait, bien qu’elle ressentait sa colère et la partageait même. Oui, elle s’était excusée et oui elle s’était rabaissée en ce faisant, mais elle ne regrettait toujours pas d’avoir joué de cet air. Cela faisait des jours qu’elle n’avait pu jouer et c’était peut être une des seuls choses qu’elle savaient faire, une des seules choses qu’elle était sûre et une des seules choses qui comptaient pour elle.
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MessageUn arbre parmis tant d'autre ** 1place libre** EmptyMar 20 Fév 2007 - 17:42

Quand elle entendit la voie de la jeune femme s’éleva disant a la jeune fée, qu’elle chantait bien, le sourire de celle si s’agrandit légèrement, plusieurs personne le lui avait déjà dit mais cela faisait toujours plaisir a entendre, elle ne rajouta rien, elle n’était pas du genre a parler mais plutôt a écouter pour donner son avis plus tard, comme si elle cherchait toujours a trouver la vérité dans les dire des un et des autres ; c’est vrai qu’elle avait un peu de mal a parler avec les autres, simplement parce que sa jeunesse avait été douloureuse très douloureux, surtout solitaire, seul Mercure avait été un aide précieuse a la solitude qui l’avait prise dans ces moment la, mais a présent elle se sentait un peu mieux, même si elle c’était faite des amis, elle ne savait pas si il était toujours la ou si elle les reverrait, mais elle savait qu’eux comme elle pensait a eux donc, elle n’était pas vraiment seule dans le monde. Oui elle est étrange, mais c’est comme cela qu’elle vit , c’est comme cela qu’elle pense.
La voie de la jeune femme était douce chantante, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas entendu parler quelqu’un comme cela, si elle le voulait elle devait pouvoir séduire certain homme rien qu’avec sa voie, c’était agréable et surtout cela ne blessait pas l’oreille.
Pas inquiet pour deux sous le loup se coucha en douceur, au pieds de sa maîtresse et ferma les yeux, maintenant il pouvait se rendormir même si la cabane dans l’arbre n’était pas son lieux de repos préférer, il préférait de loin sa niche au creux de l’arbre, ou il avait les quatre pattes sur la sol.
Le silence était un musique pour la jeune femme quand vu venez d’un contrée ou seul la neige est présente, et que personne ne vous parle, se retrouver au milieu d’une cohue humains, ou tous le monde parle et ris, c’est assez troublant, elle avait eu du mal a s’en remettre les première jours. Mais a présent tous va mieux. Elle sentait sur elle le regard de la jeune femme, et se contentait de sourire doucement, elle ne craignait plus le regard des autres, surtout quand elle le sentait comme celui la curieux et sans méchanceté.
La jeune fée se plongea dans ces pensée sans chercher a savoir si cela gênait ou non la personne, puis quand la voie s’éleva encore un fois elle sursauta légèrement et sourit. Hochant doucement la tête de droite a cause pour dire que non elle ne l’avait pas réveillée, sinon elle ne serait été de moins bonne humeur, elle se serait fâchée, elle aurait trépigner.
Quand la jeune femme reprit la paroles, Selene sourit doucement, mais non qu’elle ne s’excuse pas cela ne valait pas la peine.


« Vous ne m’avez pas vraiment troublée, cette chanson aurait tous aussi bien put m’endormir plus profondément, seulement des que j’entend de la musique , je ressent le besoin de chanter. »

Le sourire de la jeune femme s’était faite un peu plus chaleureux, comme si elle s’illuminait doucement, c’est vrai chanter l’apaisait la calmait, un peu comme si la musique avait su elle l’effet d’un calmant.
Doucement quand la jeune femme se présentant, la jeune femme s’inclina doucement, un simple geste de la tête mais qui montrait qu’elle avait entendu le nom de la jeune femme.


« Je me nomme Selene, et je suis également enchantée de vous connaître. »

La jeune femme sourit et sentit Mercure remuer , se lever et s’approcher de la jeune femme, se poster prés d’elle, pour ne pas la lâcher du regard. Il semblait la regard tellement attentivement, comme si il comprenait que le moment de présentation était venus. Selene sourit quand elle le sentit essayer d’entre en contacte avec la jeune femme.

« Mercure viens de me dire que je ne l’avait pas présenter. Alors je vais vous le dire, voici le compagnons qui m’accompagne depuis bien longtemps, il se nomme Mercure. »

Le jeune femme sourit doucement, elle ne savait pas si la jeune femme avait capter ou non le message que lui avait fait Mercure, elle verrait bien, certaine personne doutait de ce qu’il entendait quand Mercure leur parlait.
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MessageUn arbre parmis tant d'autre ** 1place libre** EmptyMar 20 Fév 2007 - 23:45

Minilya observa le loup se diriger vers elle. Bien qu’elle s’adressait à Selene, elle avait l’étrange impression que son compagnon la comprenait et communiquait à sa manière avec elle. La Vélane hocha la tête avec un sourire, oui, elle était enchantée, les manières de Selene lui plaisaient vraiment. Elle devait être la première personne avec laquelle elle prenait le temps de parler, de se présenter avant que tous ses a priori ne la gênent.

**Reprend toi ! Regarde toi ! Qui eut cru que tu te rabaisserais à ce point ?**

Minilya ne put ignorer cette pensée qui la travaillait depuis tout à l’heure. C’était bien vrai, qu’espérait-elle donc trouver ? De l’amitié ? Du réconfort ? Il lui avait pourtant été prouvé qu’elle ne pouvait faire confiance aux autres. Mais pour la première fois depuis son arrivée à la cité, Minilya ne voulait pas que cette manière de pensée persiste.

¤¤ Est-ce mal de vouloir rompre avec de vieilles habitudes ?¤¤
** De faillir à tes devoirs, à ce que je suis ? Ce que tu seras toujours, que tu le veuilles ou non ?**
¤¤Est-ce mal ?¤¤
**Qu’est-ce que le mal ? Seuls des êtres futiles perdent leur temps à définir ce qu’est le bien et le mal. Non ce n’est pas mal. Mais renier tout ce que tu es et ce que tu demeureras est une trahison à ta famille, à ton clan. Après tout, tu es une des rares survivantes. Non ce n’est pas mal.**


Mais elle n’état pas seule, et bien que le silence ne la dérangeait jamais et que visiblement Selene ne semblait pas éprouver de malaise face à ce silence prolongé, Minilya le brisa pour la bonne raison que ceci n’était pas un silence, mais un véritable supplice pour elle. Pourquoi avait-elle besoin de supporter un tel conflit dans sa personnalité ? Y aurait-il véritablement quelqu’un pour l’aider ? Les Professeurs pourraient peut être l’aider ?

**Tu rêves ma grande. Je suis toi ! Nous sommes toutes deux la Vélane que tu refuses d’être, mais que tu es. Ce que te diront les Professeurs ne seront que de belles paroles en l’air. Ce ne sont que des mâles et jamais, jamais ne dois-tu dépendre de l’avis ou des conseils que peuvent te donner des mâles. Ils sont arrogants, ils ne veulent que profiter des situations et c’est à nous de leur montrer qu’il ne dépend pas d’eux de dicter les lois de la vie. **

Ne pouvant plus supporter le monstre qu’elle était Minilya se leva précipitamment. L’obscurité était toujours omniprésente, mais elle ne prêtait aucune attention à ce qui l’entourait. Elle se dirigea vers la fenêtre, ignorant Selene et Mercure.
Ce furent les mots doux de Selene qui la tirèrent de cet état pitoyable dans lequel elle était. Elle ne capta pas le début car elle faisait tout pour faire abstraction des pensées malsaines qui lui venaient sans cesse à l’esprit.


« Mercure… »

C’était assez triste à vrai dire, pour ne pas dire pathétique, Minilya, qui tirait tant de fierté de son éducation ne put que répéter le nom du loup. Il ne lui arrivait que très rarement de ne savoir que dire et lorsque que c’était le cas, elle ne le laissait jamais montrer.
Elle se détourna de la fenêtre vers laquelle elle s’était approchée, oui, si elle voulait surmonter tout cela, il faudrait qu’elle change. Mais pourquoi devrait-elle changer ? Ce n’était pas sa faute qu’elle n’était pas habituée aux manières étranges des gens de la Cité. Ce n’était pas sa faute que sa nature lui dictait d’agir comme toutes ses sœurs avaient agi pour des centenaires.

Minilya se plaça derrière le fauteuil où elle s’était assise ce qui lui semblait maintenant êtres des heures auparavant. Sa main d’habitude pleine de grâce tremblait légèrement. C’était imperceptible, mais Minilya savait que ce n’était pas là le problème. Le fait même qu’elle se remettait ainsi en question était mauvais. Vite, il lui fallait briser le silence, elle ne tirait plus de joie de silence qui la rassurait habituellement.
Mais elle ne voulait pas parler juste pour remplacer le silence, elle appréciait le silence et savait que quand celui-ci devait être brisé, il fallait le faire en douceur. Mais elle ne trouvait pas quoi dire, elle avait toujours plus de questions, mais elle ne pouvait commencer ainsi.


«Mercure semble apprécier la musique tut autant que vous. Je n’ai pas grand-chose à offrir en retour de votre chaleureux accueil, mais si vous me le permettez je peux vous jouer un air que l’on se transmet de génération en génération.»

Minilya savait qu’elle n’était pas en état de faire un apport digne de ce nom au silence alors le briser avec un des airs traditionnels lui semblait la meilleure chose à faire. Elle prit la lyre dans ses mains, dès qu’elle parcourut les premières cordes tout tremblement s’était estompé. Elle commença tout doucement, sa voix se mêla ensuite à l’air, elle avait fermé ses yeux, elle n’avait pas besoin de réfléchir pour jouer cet air.

« Toraji, toraji, pek toraji
Shi shim san cho ne pek toraji
Han du puri man kae toraji
Taekan juri ga suri sal sal ta no munda... »


L’effet fut immédiat, à peine les mots commencèrent à s’échapper de ses lèvres qu’elle vit sa chambre, elle sentait la présence de sa Grand-mère à ses côtés, et elle entendait le son de sa voix. Elle lui contait une histoire tout en lui coiffant ses longs cheveux ondulés. Minilya ne pouvait pas la voir, mais elle était là c’était tout ce qui importait. Elle lui avait dit qu’elle serait toujours là.
Une larme coula le long de la joue de la jeune Vélane, mais Minilya ne s’en rendit pas compte, les paroles de la chanson faisaient remonter non seulement ce souvenir là, mais elle pouvait revoir la serre où elle arrosait les fleurs de sa Mère. Elle pouvait sentir les rayons du soleil au travers la fenêtre de la salle de bal.


« E-he-ya, e-he-ya
E-he-e-ya-a

E-he ra nanda chi wa ja cho ta
Nega nai kan jan gal suri
Sal salt a no gin da. »


Minilya ne savait pas comment s’exprimer, alors elle laissait les mots parler d’eux-mêmes. La chanson ne parlait que d’une fleur. D’une fleur qui poussait en montagne, mais ce n’était pas pour les paroles de la chanson que Minilya chantait. Mais inévitablement, sa courte chanson prit fin. Alors, elle ne pourrait pas se réfugier de nouveau dans le silence. Pourtant celui-ci était presque nécessaire pour pouvoir apprécier la chanson. Alors la Vélane ne dit rien alors que les dernières raisonnaient encore, vibrant non seulement dans l’air, mais dans son cœur. Et dès que la dernière note s’estompa, Minilya prit la parole :

[color=mediumseacolor] « Cette chanson ne veut pas dire grand-chose. Toraji est le nom d’une fleur, elle ne pousse que dans les montagnes, a une forme de cloche et est blanche. La chanson est chantée généralement à son enfant.

Toraji, toraji, toraji
Blanche qui s’épanouit sur la montagne
Contre le vaste ciel.

Viendras-tu avec moi
Cueillir Toraji
Une, deux, trois racines de Toraji
A prendre sur notre chemin ?

Eheya, ehya, ehe-eya-a,
Toraji, belle Toraji
Tu as pris mon Coeur. »

Bien que l’on ne pouvait véritablement traduire cette chanson [originellement en Coréen] Minilya le fit. Son regard passait de Selena à Mercure. Elle ne savait s’ils comprendraient tout ce que cette chanson signifiait, mais ce n’était pas pour cela qu’elle le leur avait chanté. Cette chanson lui rappelait son enfance, et la faisait souffir plus qu’autre chose, mais c’était le lot des Vélanes de souffrir et avant que Selene ne puisse voir les quelques larmes qui s’attardaient sur sa joue, elle les essuya.

Finalement, elle ne dit rien de plus. Elle méditait au sens de la chanson, elle l’avait toujours chanté, mais les paroles avaient tout de même un sens et ce n’était que maintenant qu’elle y songeait vraiment. Mieux vaut tard que jamais disait-on.
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MessageUn arbre parmis tant d'autre ** 1place libre** EmptyVen 23 Fév 2007 - 13:36

Mercure revins vers sa maîtresse, et posa sa grosse tête blanche sur ces genoux, elle adorait sentir la douceur de sa fourrure sous sa main, le loup était étrange, aussi magique qu’elle, aussi étrange qu’elle, sans lui elle ne savait ce qu’elle serait devenue. A plusieurs reprise le loup l’avait sauvée, il l’avait sauver d’elle même et des autres, depuis son arrivée dans sa vie, il lui avait épargner bien des ennuies, le seul instant ou elle avait été séparée de lui elle avait crut mourir de chagrin, pourtant le sachant encore vivant elle avait lutter pour sa propres vies, pour revenir prés de lui, car l’un sans l’autre il n’était plus rien. Mercure avait jurer, il avait sceller un pactes avec la jeune femme, enfin non avec la mère de la jeune fée, un pacte qui le liait a elle pour la vie, il aurait put refuser puisque c’est son chef de groupe qui l’avait choisit, il avait longuement hésiter lui le loup sauvage se lier a une humaine, enfin non a une bipède, mais quand il avait vu cette petit fille frêle grelotter dans la neige sans défense, rejeter de sa horde, son cœur de loup encore bien jeune a l’époque n’avait put le supporter, il faut aussi dire que la jeune femme, bien que différente de sa horde l’avait sauver des chasseur, depuis se jour la le lien qui unissait la jeune femme et son loup n’avait fait que devenir plus fort, transformant le loup mais aussi la jeune femme, aussi sûrement que le soleil se lève et qu’il se couche.
Quand la jeune femme caressait ainsi mercure, d’un main un peu étrange on pouvait dire qu’elle n’était pas sur cette terre mais dans ces pensée, un peu comme la jeune femme en face d’elle.

Mais elle même ne luttait pas contre un personnalité, contre un éducation, éduquée comme un paria, elle avait du mal a aller vers les autres, préférant les laisser venir a elle, enfin cela c’était avant a présent elle préférait observer puis avancer si la personne lui plaisait, cela faisait quelque temps qu’elle n’avait pus fait de nouvelle connaissant, mais cela ne la gênait pas , solitaire dans l’âme , elle appréciait la compagnie des autres pour ce qu’elle pouvait lui offrire et ce qu’elle pouvait leur donner, sans plus .

La jeune femme sursauta légèrement surprise par la brusque mouvement de la vélane, elle ne s’était pas attendue a cela, d’ailleurs Mercure avait lui aussi sursauter avant de reposer sa grosse tête sur les genoux de sa maîtresse. En tous cas un chose est sur cela venait de la faire sortir de ces pensée de neige et de malheur. Elle reprit sa respiration, qu’elle avait suspendue quand ces pensées l’avait menée loin d’ici, elle faisait toujours cela quand elle pensait a quelque chose qui la blessait lui faisait mal, il ne fallait plus qu’elle pense a cela sinon cela serait catastrophique. La dernière fois qu’elle c’était fâchée, elle avait faillit détruire l’endroit ou elle était , et cela elle ne le voulait pas, elle tenait trop a cette arbre, même plus petit que les autres, mais beaucoup pus chaleureux a son goût.
Selene ne voyait peut être pas , mais justement a cause de cela, elle captait ce que les autre ne pouvait capter, pour elle les sensation des autres qu’il ressentait fortement, elle les ressentait aussi, un peu comme un animal pouvait ressentir les sensation de son maître.

Elle sentait la jeune femme nerveuse, stressée, mais aussi un peu angoissée, comme si elle ne connaissait pas vraiment l’endroit ou elle était . Quand elle même était arrivée dans cette ville, elle se rappelait l’angoisse qui l’avait étreinte, perdue dans se monde de bruit et de corps, de paroles et d’amitié, elle avait eu peur ,peur de tous, elle n’avait pas été habituée a se retrouver dans tous se monde, qu’on la considérer comme quelqu’un, mais elle s’y était habituée on s’habitue a tous, même a ce qui fait peur.

Selene sourit encore un fois, elle voulut ouvrire la bouche pour dire que la jeune femme n’avait pas besoin de la remercier que l’accueille était tous naturel, mais elle préféra se taire et écouter ce que voulait lui offrire a Velane, simplement parce que pour elle la musique était plus importante que tous. Selene ferma les yeux pour mieux savourer les paroles de la chanson, même si elle ne les comprenait pas. Pour elle l’air avait plus d’importance que les paroles, c’était doux a l’oreilles un peu triste et mélancolique, mais tellement beau qu’u sourire naquit sur les lèvres de la jeune fée. Cela lui rappelait un peu les mélodie que lui chantait sa mère avant que celle si ne lui soient enlevée. Quand la jeune femme eu fini de chanter et qu’elle commença ces explication, la jeune femme rouvrit les yeux les plongeant dans le regard de la vélane.


« Les berceuses que les parents chante a leur enfant son les plus belle chanson de se monde, simplement pace qu’il prouve au enfant que leur parent les aime, qu’ils veulent pour eux quelque chose de beaux, c’est souvent le seul souvenir que l’on garde d’eux quand il disparaisse. »

La voie de la jeune femme était un peu mélancolique, aussi légère que le vent, de sa mère elle ne se souvenait que de ces chanson, qu’elle pouvait chante sans peine et sans problème , comme si il était gravée dans sa tête, aussi sûrement que si elle avait écrite dans la pierre, gravée a jamais.
Quand le vent soufflait la jeune femme pouvait entendre sa mère chanter, elle savait que se n’était qu’une illusion, mais cela la rassurait de savoir que sa mère avait vécut ici avant elle, et qu’elle y avait trouver l’amour.


« Même traduite les paroles donne un message, que je ne suis pas sure de pouvoir traduire correctement, les chanson d’amour donnent un espoir mais aussi un leçon, toute ne son pas facile a vivre, enfin la je raconte n’importe quoi. »

La jeune femme se leva doucement, faisant bouger mercure qui soupira doucement, lui il ne s’inquiétait pas de comprendre la chanson, il s’était juste laisser bercer par le rythme lent de celle si pour s’endormir de toute façon ce gros fainéant ne faisait que dormir nuit et jour. Selene se dirigea vers un endroit de la pièce, et fouilla un moment, elle avait faim et soif, bon alors, tiens des cadeaux au chocolat, et deux bouteille de sirop de fleurs de son pays. Parfait léger, et désaltérant. Sans mot dire, elle les posa sur la table a la jeune femme de les prendre si elle voulait, elle ouvrit sa bouteille et s’assit en douceur.
Encore un instant elle dévisagea la jeune femme avant de poser une question, qui la turlupinait depuis quelque temps, enfin depuis sa rencontre avec la jeune femme.


« Dites moi, vous appartenez a qu’elle race, c’est la première fois que je ressent ce genre d’aura ? »
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MessageUn arbre parmis tant d'autre ** 1place libre** EmptyDim 25 Fév 2007 - 17:32

Minilya l’écouta parler, rendant son regard à sa compagne. Traduite, la berceuse n’avait plus grand sens, mais elle gardait son message qui se voulait rassurant. Elle était contente qu’elle comprenne, c’était vraiment la première personne avec laquelle elle pouvait parler librement. Elle avait bien rencontré une autre jeune femme qui l’intriguait, mais ses pensées étaient maintenant concentrées sur cette chanson, son passé, et cette belle jeune femme qui lui faisait face.

«Quoiqu’il arrive, il faut continuer à avancer malgré les moments durs. C’est tellement plus simple d’apprendre à apprécier les choses comme les Toraji, et c’est mieux que de se morfondre. »

La Vélane approuvait ce que Selene avait dit en y mettant sa vision des choses. Mais jamais sa Mère ne lui aurait chanté une chanson pleine d’amour, l’amour n’existe pas, ce n’était qu’une invention des êtres vivants qui voulaient se rassurer. Certains croyaient en des dieux, d’autres dans des choses comme l’amour.
Minilya recommença à se perdre dans ses souvenirs et c’était peut être pour cela qu’elle n’avait pas encore crachée au visage de Selene son amertume, comme un serpent cracherait du venin à la face de son ennemi. Mais celle-ci avait quelque chose de rassurant, non seulement cela, mais Mercure aussi la rassurait, cela en disait aussi plus sur le caractère de Selene.

D’ailleurs peut être que Selene était trop douce ? Minilya la regardait sans véritablement comprendre, personne ne pouvait être doux de nature. L’amour des parents ? Elle ne connaissait rien de tel ? Sa mère était une véritable inconnue, alors que sa Grand-mère avait bien plus une mère pour la jeune Vélane.
Mais la jeune femme ne voulait commencer à arguer avec Selene, et celle-ci venait de faire preuve d’intérêt à son égard, alors elle n’allait pas la décevoir.


« Je suis une Vélane. »

Minilya se contenta de ne dire que cela, après tout, rien de plus ne concernait Selene, mais quelque chose lui dit que cela ne se faisait pas, sa belle hôtesse avait fait preuve de savoir vivre. Minilya se dirigea alors vers la table et se servit des aliments disposés là, du chocolat, un aliment riche et rare qui était toujours apprécié et un sirop, elle servit un verre de ce liquide et réfléchissait alors qu’elle fixait le contenu de ce verre.

**Tu ne lui dois rien.**
¤¤Personne ne me doit rien non plus, je ne suis personne ici.¤¤
**Peut être, mais tu ne peux changer ta nature, cela ne sert à rien de t’illusionner, il st trop tard, tu ne peux changer qui tu es.**


Minilya but le sirop. Il était doux, frais et rafraîchissant, elle le trouvait à l’image de Selene. Elle ne vida pas le liquide de son contenant, préférant profiter le plus de choses qu’elle goûtait. C’était une habitude et aussi une part de son caractère.
Elle inspira, elle n’était pas pressée et sa compagne ne le semblait pas non plus. Elle se doutait maintenant bien que Selene était aveugle, mais la fixait tout de même, elle savait qu’elle n’avait pas besoin de la vue pour comprendre et être comprise.

Il ne fallait pas être bien futé en tout cas pour s’apercevoir de la note amère qui se fit entendre alors que Minilya prit la parole, en disant juste un tout petit peu plus sur elle.


« Je ne sais pas si tu en connais long sur les Vélanes, beaucoup de gens me disent qu’ils ont entendu parler de cette race, ou bien que leurs livres d’histoires les mentionnait quelque part. Toujours est-il que les livres se trompent, jamais nous ne dévoilons nos secrets. »

**Jamais ? Qui c’est qui n’arrête pas de parler à tout le monde depuis son arrivée, faisant honte à ses ancêtres ?**

« Que vous n’ayez jamais rencontré de Vélane ne m’étonne guère. Que vous n’en rencontriez jamais d’autre m’étonnerais encore moins. Nous restons entre nous, je suis du clan de Klarif. Une des uniques survivantes de ce clan. »

**Voilà, maintenant tu vas commencer à lui verser ton cœur et tes douleurs ? Ne sois pas ridicule ! Elle est sans aucun doute perspicace et regarde ce loup qui nous fixe. **

Minilya porta le verre à ses lèvres et finit de boire ce qu’il restait de sirop, oui, il était vraiment délicieux, sucré, mais juste comme il le fallait. Elle en avait assez dit et laissa le silence reprendre le dessus un bout de temps, bien entendu, elle ne disait jamais aux gens ce qu’étaient les Vélanes, mais ce qu’elles avaient à supporter. Enfin, là elle n’avait pas dit cela, donc elle ne risquait pas de trahir le secret.
Elle tourna son regard vers Mercure, est-ce que c’était elle, ou il la fixait ? Elle ne saurait vraiment le dire, en tout cas, elle savait que cet animal était loin d’être aussi bête que la moitié des hommes à qui elle avait eu affaire au cours de sa vie.


« Et vous êtes d’où ? Vous avez un teint et une allure que je n’ai jamais vue aux gens d’ici. »

Minilya ne faisait pas que rendre sa question à Selene, elle était vraiment intriguée et se posait des questions sur non seulement la jeune femme, mais le loup, ce n’était pas souvent que l’on voyait un des animaux les plus mystérieux et intelligents accepter de vivre avec une de la race des bipèdes. Durant le bref temps qu’elle avait passé à Elament, Minilya s’était rendue compte que tous avaient un côté mystérieux, une part de quelque chose en eux et...

**Et quoi ? Tu te demandes si tu n’es pas la seule à hésiter, à avoir des questions ?**
¤¤Oui, c’est ça, je ne veux pas être seule.¤¤
**Laisses moi rire Minilya, si ta pauvre Grand-mère te voyait.**
¤¤Elle ne me verra pas, elle ne me verra jamais plus, alors peut être que pour une fois dans ma vie je pourrais faire ce que je voudrais !¤¤


C’était la première fois que Minilya avait le dessus, mais cela, personne ne le savait et elle-même n’y accorda pas tellement d’importance.
Autant de petits changements en elle qui ne faisaient qu’annoncer le début d’un changement imminent.
Mais elle avait peur de se changement. Elle le pensait impossible. Après tout, pouvait-on réellement changer sa nature ?
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