Arrive à Elament

Cornacchia atteignit la grande porte massive qui contenait la citée d'Élament,un sac de cuir en bandouilère en guise de bagage,il paraissait pleins à craquer..Son col de manteau était relevé,du à la morsure du froid qui reignait à l'extérieur.Enfin, pour le moment, ce n'était qu'un petit détail.Cet endroit semblait avoir du style...mais ce n'était pas pour autant qu'elle était heureuse à l'idée d'y vivre, loin d'elle cette idée,on l'avait literallement arrachée à ses habitudes...
Enfin, l'heure était venue d'assumer, elle tenterait de vite fait rectifier ces faiblesses, après tout, c'était pour cette raison qu'elle était venue ici..Pour mieux contrôler ses pouvoirs..

Dans un petit soupir,Elle Jeta rapidement un coup d'oeil aux allentours, elle se demandait pour où elle devait aller pour trouver les dortoirs.Cornacchia désirait s'installer le plus vite possible pour aller examiner la bibliothèque, lieu où toute la connaissance était enfermée.Plantée en plein milieu de la salle,sa valise derrière elle,celle-ci attendait que quelqu'un,un domestique peut-être,daigne venir lui répondre.

*Quel suplice je devrais endurer?Bah..Sa ne serais qu'un épisode de ma vie..*

Soudain,quelqun s'approcha d"elle et..

-Topic libre-

se fit bousculer par une personne qui avait l'air plutôt exaspéré.

Il faut dire qu'avec sa jupe, son évantail et ses cheveux longs retenu en partit par un ruban violet, Daniel avait plus l'air d'être une fille qu'un gars et celà l'enervé beaucoup. Si il aurait eu Gaëlle devant lui, il aurait probablement fait un meurtre, ou du moins, il l'aurait engueulé.

Quand ? Mais quand comprendrait-elle enfin qu'ils partagent un même corps et qu'il en avait marre de devoir supporter ses goût vestimentaire. La seule chose dont il avait envie, c'était de changer au plus vite de vêtements.

Mais voilà, il venait de foncer dans quelqu'un et il lui fallait au moin s'excuser un minimum, car ce n'était pas la faute de cette pauvre fille si il était de mauvaise humeur. Aussi, il se retourna, regarda la jeune femme et parla rapidement :

"Je suis vraiment désolé, je n'ai pas fait exprès mais je suis un peu pressé et je n'ai pas fait attention. Celà ira ?"

Ne possèdant pas beaucoups d'équilibre,Cornacchia s'écrasa au sol.
Embarassée par sa culbute,elle ne regarda pas l'individu qui se tenait devant elle.Mais par le son qui s'écoulait de sa voix,elle en conclu que c'était un jeune homme.

J'imagine que oui..

À vraie dire,quand elle tomba au sol,Cornacchia atterissa sur sa hanche,qui avait déjà été accidentée antérieurement,alors une douleur pénible c'était accaparé de sa blessure.Elle resta au sol.Pour que le jeune homme ne se doute de rien.Puis elle souria bêtement.

Au moin, vous êtes conscient de votre acte.Vous pouvez partir..

*Je ne voudrais en rien le retarder..*

Elle se mordit la lèvre inférieur,afin de se retenir de hurler..

"Vous êtes sûr ?"

Malgré son désir de s'enfuir au plus vite de l'endroit, Daniel avait quand même parlé et observait rapidement la jeune femme qui était resté au sol. Il n'auvait pas pensé que son coup soit suffisamment violent pour envoyer quelqu'un par terre mais il semblait bien que celà fû le cas.

Avec toute la gentilesse dont il était capable, il tendit une main à la jeune femme pour l'aider à se relever. Une jeune femme qu'il n'avait encore jamais vu auparavant et il se dit alors que la jeune femme n'avait pas eu beaucoup de chance de tomber sur lui ou plutôt qu'il lui soit tombé dessus. Niveaux accueil, il y avait mieux.

Daniel l'aida tant bien que mal à ce lever. Ceci fait, il l'observa vaguement et parla rapidement après avoir esquisé un geste de la main.

"C'est naturel. Encore désolé de vous avoir bousculer. La prochaine fois, j'essaierais de vous éviter. Je vous laisse ici, au revoir."


Et il parti, d'un pas plus calme si l'on peut dire qu'avant. Malgré ses vêtements ridicules, il préférait éviter de courrir à nouveau, car celà ne lui avait pas réussi.

*Sans compter que cette jupe n'est vraiment pas pratique pour courrire, comment les filles peuvent-elles accepter de porter de telles choses.*

Et il secoua la tête à cette pensée. Quand à le jeune femme, il l'avait laissé où elle était, sans même se présenter ou demander à elle de se présenter, à quoi bon, il y avait assez de monde à Elament sans qu'il ait besoin de les connaître tous.