Le soleil était encor haut dans le ciel malgré l’ heure plutôt tardive. Les oiseaux chantait, le vent sifflait dans les arbres, et Enoriel les écoutait en silence, plongé dans ses pensés. Lorsque soudain…
*Voilà, je vois les portes ! C’ est comme ce qu’ avait décrit la vielle ! Jusque là , elle ne m’a pas mentit. *
Enoriel était un peu paniqué à l’ idée de ce retrouver dans un endroit totalement inconnu. Et si la vielle ermite lui avait mentit ? Si cet endroit était en réalité un nouveau piège a voleurs ? Si c’ était juste un plan manigancé par tous ces riches qu’ il avait pillé ? Toutes ces questions trottait dans sa tête ne trouvant, malheureusement, aucune réponse rassurante.
Aucune ; excepter cette porte qui était comme l’ avait décrite la vielle… Mais elle ne semblait pas pouvoir s’ouvrir ; aucune serrure, aucun gond. Juste des décorations de fer forgé et des gravures en bois.
* Pas un panneau, ni la moindre indication ! C’ est dingue ! Comment diable faut il faire pour entré la dedans ! *
Enoriel examina la porte et son regard fut attiré par l’ une des 4 gravures, celle qui représentait un arbre. Intrigué, il l’ effleura du bout des doigts puis passa la main complète dessus. A ce moment, la porte s’ ouvrit et laissa le champ libre a l’ elfe. Et Enoriel, ébahis, put voir la splendeur du château et les éclat du soleil dans ses innombrables fenêtres. Il passa ces portes, complètement hébété par la beauté des lieux. Derrière lui, les portes se refermèrent dans un fracas feutré.
* La vielle n’ avait donc pas menti… *
Enoriel, rassuré, marcha un peu dans les ruelles.
