Un frisson?... [Réservé]

Comme le disaient si bien les gens qui avaient parler de la tour des vents, elle était grande, faite de pierre, dans la pierre, des trous, sans doute des fenêtres.
Il y avait aussi des bouts, dans ce grand cylindre, qui ressortaient d’une place et d’autre, sans doute des pièces mit là pour on ne sait trop quelle raison…

Mais quoiqu’il en soit, au pied de la tour, une ombre, pas menaçante, pas grande et encore moins horrifiante, juste une ombre qui se mouvait en silence dans la nuit.
Nuit qui d’ailleurs, était sombre se soir là, les nuages, ou se qui semblaient en être, recouvrait le ciel à partir du Sud jusqu’à l’ouest… par contre, s’était pas le fait que les nuages cachaient les étoiles qui rendaient la nuit sombre,non, s’était d’abord le manque de lumière à cette endroit, mais aussi que les nuages, étaient lumineux, à la fois orange, jaune et clair… mais entourer d’un ciel, magnifique mais invisible, qui était dans un dégrader de bleu superbe, passent d’un début violet, pour ensuite fini dans un sombre bleu noir voilé par des lambeaux de nuages.

La vision rendait toute personne rêveuse, mais pas spécialement Marius, enfin, pas pour l’instant, car en se moment, il était plus occuper à frôler la pierre de la tour du bouts des doigts, s’imprégnant du manque de chaleurs et de la texture rugueuse et montagneuse de cette énorme forme grisâtre, donc la vision ressemblait à un énorme désespoirs.

En haut de la tour, cependant, régnait, malgré le manque de vie évident, beaucoup d’action, on entendait d’en bas le cris du vent qui ressemblait à celui des loups ou encore, le cris des spectres dont les histoires sont aussi épeurant les unes que les autres…

Des fenêtres, aucune lumière, le vide total, la noirceur abyssale d’une solitude banal… Mais la solitude allait être déranger, ne demander pas par qui, ça serait dangereux de le faire, observé plutôt, comme vous le faites depuis le début, mais surtout, ne vous mettez pas dans l’action…

En parlent d’action, le jeune homme vient d’entrer dans la tour, disparaissant dans une coulée d’ombre, par l’ouverture faite exprès pour ça… Puis zoup! Plus aucun signe de vie, même pas le bruit des pieds contre les marches, pourtant, on ne devrait qu’entendre ça, maintenant!

N’aillez crainte, il n’est pas mort, n’y encore moins sur le point de crever, n’y même capturer… ou toutes les autres choses que vous pourrez vous imaginez… rien de tout cela n’arrive en se moment, et on l’espère, n’arrivera jamais.

Pour l’instant, il est rendu à l’étage supérieur de la tour, là, alors que le cri du vent devient de plus en présent mais étouffer, se trouve des rideaux rouges qui se berce doucement, Marius sent une présence derrière ceux-ci, c’est pourquoi, les yeux et les nerfs aux aguets, il approche doucement ses mains glissent ses doigts entres le tissu alors que de la buer sort de ses lèvres et que ses cheveux lui tombent en partie dans le visage, il écarte doucement la chose…

La longue robe de Stella traînait sur le sol , la souplesse et la finesse de ses pas rendait sa démarche voluptueuse. Une légère brise la traversa ,elle frisonna et remit son châle de soie gris sur ses épaules laiteuses.
La tour faisait face devant elle ,elle commença à la monter ,profitant de chques moments dans ses escaliers faits de pierres. La froideur délicate de cet endroit lui redonnait confiance en elle. Mordant ses lèvres fines ,comme si elle avait égaré un objet ,elle s'arrêta un court instant.
Elle venait d'entendre un bruit ,un bruit qui résonnait ,inquiète elle enleva ses chaussures à talons pour éviter de faire du bruit. Elle les rangea dans son sac fait de poils de poulain.
Elle monta les marches jusqu'à l'étage supérieur et vit un bel éphèbe qui se tenait prêt de rideaux couleurs pourpres qui devait sûrment être rouge les jours ensoleillés.
Elle observa l'obscurité de cet étage , elle était frustrante et donnait une impression de petitesse. Mais Stella n'allait pas se laisser impressionée par cette noirceur réelle.
Elle remit ses chaussures et fit quelques pas, le bruit s'entendit et elle dit à l'adresse du jeune homme:

"Drôle d'endroit ,non ?"

Marius, dans un mouvement rapide remplit de surprise, apporta son attention sur… sur…

Ses yeux parcouraient la beauté qui se trouvait devant lui sans qu’il ne puisse y faire grand-chose, d’abord et avant tout, les jambes, ou du moins se qu’il pouvait en voir, derrière le tissu, elles semblaient longue, comme la patte d’un chat, ça respirait la souplesse! Puis il remonta, la main toujours sur le rideau rouge, maintenant dénudé d’intérêt, alors que l’autre pendant sans grande intelligence, à côté de son corps, ou plus exactement, tout proche de sa poche gauche.
Il ouvrit et ferma la bouche deux fois, comme pour mieux avaler la salive qui menaçait de couler, alors que le vert de ses yeux, qui n’avait pas encore été rougit, semblait près à capturer l’image de la jeune femme pour plus qu’une nuit…

Revenons cependant à la créature…
La beauté de la dame aillent rendu les facultés mental de Marius au simple stade du légume, il serait sans doute bien de lui donner une claque… Ah? Finalement pas, voyez, il vint de cligner des yeux, signe qu’il commence doucement à s’en remettre.

Après la vision enchanteresse, l’aura, alors qu’il recommençait à se détendre, en plus, ça lui sauta, encore une fois, en pleine figure… là, ça ne sentait plus la finesse, ça sentait la pureté.
Il avait un donc certain pour tomber sur se qu’il ne pouvait avoir, surtout que la jeunesse évidente était en soit, un problème.

« En effets… »


Il aurait du, oh que si, ce la fermer et ces se qu’il fit, avait de dire quelque chose qui aurait put être foireux.

Minute… je sais, ça commence à devenir une espèce de début de coup de fondre son affaire là, non? Hiiiiiiiiiiiiiir! Aller, un claque et tout s’arrangera…
Un, deux… trois… Marius secoua la tête deux secondes, frémissent des pieds à la tête, avant de jeter un dernier coup d’œil aux rideaux et de mettre ses mains dans ses poches.
Il rapporta son attention sur la jolie jeune fille, sourient d’un air piteux, ses yeux verts brillents.

Stella observait le jeune homme , il la dévisageait d'une drôle de façon. Ses ouvertures de bouches la flattait .Peut être se trompait elle ,mais elle en doutait .
Le bel inconnu avait un air méphistophélestique ,il devait être innacessible pour elle. Il était plus âgé qu'elle ,et elle avait bien remarqué que c'était un vampire. Ce petit jeu ,il devait le faire souvent , histoire de mordre une autre victime ,une jeune fille qui semblait vulnérable.
Derrière son masque de candeur ,Stella était forte du moins elle le pensait. L'impatience grouillant en elle ,elle désirait le connaître d'avantage ,mais le devait elle ? Elle ne cessait de se poser des questions.
Tentant une diverse approche elle dit au jeune homme :

"Ai-je l'honneur de connaître votre nom doux jeune homme ?"

Quelle stupidité , ce devait être déplacé de le nommer de cette manière ...

Marius reprit complètement ses esprits à se moment là, à ce surnom là, ses yeux avaient eut vite fait de se rendre dans ceux de la jeune fille, surprit mais amusé, alors qu’un sourire venait prendre ses lèvres comme si se fut une marionnettes.

« Mon Nom? Mais il semble que vous en aillez déjà trouvée un, pourquoi donc en vouloir en deuxième? »

Son sourire devint plus discret, ses yeux plus brillants et son corps plus détendu.
Par contre, ses cheveux restaient les mêmes, toujours aussi noir et mal couper, remplie de mèche longue et courte… et dans son visage.

La place où ils se trouvaient était vide, Marius n’avait pas vue se qu’il y avait derrière les rideaux, mais il s’avait qu’il devait sans doute avoir moins d’espace qu’ici.
S’était remplie de courent d’air, son corps d’ailleurs, n’avait pas attendu pour lui faire remarqué, tendit que ses cheveux prenaient un malin plaisir à aller dans tout les sens, mais toujours en revenant dans son visage.
Sur sa nuque, s’était froid, un contacte à peine perceptible mais remplie de frisson futur, dans son dos, plus présent et chatouilleux, le tout donnait la sensation parfaite d’être observé ou nue…

Ses jambes et ses mains, elles, ne semblaient pas s’en rendre compte, en fait, il ne les sentaient même pas, ou si peau, juste quand il les bougeait, en fait.

Ses yeux verts et fades, remplie de malice en cet instant précis, mais aussi froid et séducteur… on ne peux pas arrêter se qui à été mit en marche… semblait près à avaler l’image de la jeune femme dans leurs iris, près à caresser cette vision dans la solitude d’une nuit sans intérêt…

A sa simple réflexion , Stella rentra dans une sorte de jeu ,un jeu mystérieux et sans réelle règle ,prêt à s'interrompre à chaque moment. Cet amusement palpitant la fit sourire, émerveillée par cet homme , Stella eut comme une sensation de plaisir instinctif.
La froideur et la noblesse de ce lieu lui donnait froid ,son châle lèger ne suffisait pas ,elle trembla de froid.
De ses longues mains ,elle toucha son pendentif ,cela la rassura. Elle fit quelques pas ,sans pour autant se rapprocher de l'inconnu.
Soucieuse ,elle leva la tête et observa le plafond il semblait trembler. Ce devait être une hallucination. Ce devait être à cause du "jeu".
Puis elle regarda le jeune homme , la noirceur de sa crinière était époustouflante ,ses cheveux en bataille lui donnait un côté animal et sauvage.
Mais ,Stella était comme à son habitude dubitative ... Après tout où tout cela aller mener ? Mais dans un moment de fantaisie ,elle ne s'en soucia pas. Hésitante quand elle choisit ses mots ,Stella parla au bel éphèbe :

"Hé bien , d'habitude une présentation est nécessaire ... Mais après tout ,tout le monde noue sa vie à de simples banalités ,alors évitons les formalités..."

Puis souriante ,elle continua :

"Appelez moi Stella . Oui simplement Stella"

[Message maigre, mais qui va peut être faire avancer les choses ^^]

« Dans se cas, je vous appellerais Stella. »

Il lui rendit son sourire, alors qu’un courent d’air particulièrement fort et frisquet vint le pousser dans le dos, son chandail, ses cheveux et son pantalon firent plusieurs tours avant de se calmé, et lui, aillent sortie les mains de ses poches, croisaient les bras dans une mince tentative pour se réchauffer, de la buer sortait de sa bouche, d’ailleurs.
Même si le froid n’avait aucun effet néfaste sur lui, ça n’empêchait pas que le froid…bah… ces froid!

Il détourna le regard une seconde, sourient encore un peu avant de lui jeter un coup d’œil.

« Finalement, le surnom de doux jeune homme… on le laissera de côté, voulez-vous? Appelez moi Marius. »

Il n’avait pas dit son nom de famille, juste au cas où il tomberait sur quelqu’un qui avait entendu parler, justement, de sa famille…
Sa peau pâle, malgré l’obscurité ambiante, était particulièrement visible, surtout que ses cheveux noirs lui donnaient l’air encore plus blanc, ses yeux vers, particulièrement fade, eut, semblaient prendre un malin plaisir à grossir ses iris.

[pas grave ce sera de même pour moi ]

Le vent était assez violent ,cet endroit lugubre l'angoissait un peu ,du moins elle n'était pas à l'aise. Ses cheveux dans le vent ,elle avait froid .Trop froid même.

"Très bien ,dorénavant je vous appelerez Marius "

Elle sourit de ses dents blanches ,laissant une empreinte éternelle en ces lieux.
Elle frissona ,le froid l'assaillit. Remêtant son châle sur ses épaules. Elle ne désirait pas rester ici. Elle se baissa pour resserer la sangle de sa chaussure.

"Bien je ne pense pas rester plus longtemps ici ,il fait froid ,trop froid pour moi ..."

« Je vous aurais bien passé une veste, mais je n’est pas l’ombre d’une seule sur moi… »

Il eut un air pensif quelques secondes… la regardent toujours avec cette air au un tiers béa, un tiers malicieux, et un dernier tiers vampirique.

Il se mordilla la lèvre inférieure avant de demander :

« Vous êtes sur de vouloir partir? Si tard et sans personne… »

Il se rappelait sa rencontre avec une ange, quelques nuits plus tôt… il se rappelait bien avoir bue la tasse et avoir un sacré mal de coeur juste après… comment oublié la souffrance qu’il avant ressentie? Il n’aurait jamais crue que l’eau aurait put être une source de douleur, n’y même qu’une si petite gorgé est pue le rendre agressif, décidément, la douleur n’était pas fait pour lui…

Hum… mais qu’elle était cette odeur? Ah… cette odeur là, il la reconnaissait bien, d’ailleurs ses yeux vagabondaient, sur le visage de la jeune femme, descendant parfois sur le coup de la beauté, avant de revenir à la réalité et de remonter jusqu’aux yeux.
Mais la réalité, en fait, était plus centré sur l’envie qui montait en lui qu’autre chose, il s’avait pourtant qu’il ne pouvait l’apprendre, trop jeune, s’était encore une élève… il pourrait être son grand frère!

Juste cette pensé le fit sourire, deux secondes, alors que ses yeux prenaient lentement des airs de chient battus. Ses cils venaient faire de l’ombre de ci de là, rendant le vers de ses yeux, pourtant fade, d’autant plus sauvage et captivent…

Stella remarqua le petit jeu de Marius , elle dû admettre que c'était flatteur ... Malgrès la différence d'âge ,elle était attiré par lui... Mais c'était un jeu dangereux ,très même...

Elle réfléchit un court instant ,après qu'est ce qu'elle risquait ? La vie était faite de tentation qu'il fallait saisir et utiliser. Se rapprochant de Marius elle lui dit :

"Eh bien ,oui il fait froid ,mais par une nuit si effrayante ,je ne vous cacherez pas mon anxieté..."

Elle lui sourit lui tendant une "perche" ,allait il réagir ? Son sentiment était il réciproque ? Qu'allait il se passer ? Tant de questions qui restèrent en suspend jusqu'à la réponse de Marius...

Sa robe volait au vent ,ses cheveux aussi. Le froid persistait ,mais elle resterait tant qu'elle n'aurait pas eu une réponse ...

Il la regardait faire, ses cils barricadent ses yeux d’un contour noir et piqueté.
En apparence, il semblait très calme, mais dans sa poitrine, si son cœur aurait put battre, il l’aurait fait tellement fort qu’on bourrait sentir le rythme juste en l’effleurent.

Il ouvrit la bouche, à peine deux secondes, avant de la refermer, une main toujours dans sa poche alors que l’autre restait immobile…
Seule le vent, à cette instant précis faisait bouger une partie de lui-même, et ses vêtements.

« Est-ce moi, qui vous rend anxieuse? »

Demanda-t-il, ses yeux fondant dans les siens, alors que sa voix avait baisser d’un ton.
Les chaînes autour de son coup scintillait grasse à on ne sait quelle lumière, alors que sa peu blanche, pareille à de la porcelaine à cette instant, semblait vouloir absorber l’essence de la jeune femme, en effet, elle était extrêmement pâle à cette instant précis, sa peau…

Bougent la main légèrement, celle-ci vint se pauser sur son ventre d’ailleurs, il reprit.

« Ou le cri du vent, pareille à celui d’une femme et à la noirceur qui nous entoures… rajoutez à cela le froid… Un frisson est vite arrivé dans ces moments, non? »

Il ne pouvait se retenir, pendant qu’il parlait, ses lèvres bougeaient à peine, mais pourtant, évoquait énormément de chose…

C’est dans un murmure qu’il dit ça dernière phrase.

« Que faite vous à cette heure, aussi loin de votre dortoir, Stella? »

Son regard se fit plus vif, alors qu’il avait une drôle de sensation qui se propageait dans ses lèvres et sur ses mains.

La froideur du lieu était inquiétante ,Stella ne pouvait s'empêcher d'être en activité ,sinon le froid s'emparerait d'elle ,sans même un scrupule.
Elle serra les dents pour ne laisser apercevoir le froid qui l'envahissait. Elle marcha un peu dans ce lieu pour le moins étrange et singulier .Elle sourit à la réflexion de Marius. Patientant un peu avant de répondre ,elle s'assit sur un fauteuil long et large.
Toujours souriante elle lui répondit d'une voix douce.

"Détrompez vous ..."

Elle s'installa un peu mieux dans son siège ,mais pas trop non plus .Elle ne désirait pas rester longtemps ici. Elle n'afficha plus son radieux sourire aux lèvres.Elle ouvrit son sac fait de poil de poulain et en sortit un mouchoir fait de tissu couleur prune. Avec ce dernier elle essuya une partie de son doigt qui saignait ,elle s'était piqué avec un ressort du siège.

Quand Marius reprit la parole ,elle ne répondit pas ,elle se contenta d'un hochement de tête banal. Elle compressa alors son mouchoir sur sa plaie et caressa ses cheveux doux et clairs.

Elle sursauta à la deuxième question de Marius .Le vent se faisait de plus en plus violent et on entendit un oiseau faire un bruit aïgu.
Au début Stella ne sut que répondre ,troublée par cette question .Mais après tout ,elle n'avait pas à se justifier surtout envers une personne qu'elle ne connaissait que depuis quelques temps .

"L'obéissance est un sentiment banal et monotone .Je viens me ravir à tuer le temps dans une étrange tour avec un inconnu pour le moins charmant ..."

Elle remit son mouchoir dans son sac et se leva délicatement du siège sur lequelle elle trônait. Se rapprochant alors doucement de Marius, elle faisant mine de réfléchir . Alors ,elle s'adressa encore à lui.

"Emettons une hyppothèse. Disons que par ce froid glacial ,je me résoud à partir , viendrez vous avec moi ou resteriez vous ici ?"

Il l’observa avant de répondre, suivant ses gestes avec l’impression que ses lèvres souriaient, du moins, pour lui, car il n’y avait aucune trace de sourire sur son visage.

Il pencha la tête sur le côté, ses cheveux suivirent le mouvement, toujours une main dans les poches, avant de répondre.

« J’ai bien peur de ne pouvoir vous suivre, jeune femme, même si l’envie y est. »

Au lieux de s’assir sur le même fauteuil qu’elle, il préféra s’installer dans les marches.
Une jambe ramener à lui entourer de son bras droit, alors que l’autre reposait sur la marche inférieure, sa main gauche sur le genou de sa jambe droite.

Les yeux constamment dirigés vers la jeune fille, il sourit lentement, avec plus de franchise, alors que le peu de lumière qu’il y avait traçait dans son visage un jeu d’ombre pour le moins inquiètent, ses yeux vers et fade, quoique brillant, semblait baigner dans le blanc qui les berçaient furtivement de gauche à droite.

« Puis-je vous demander quel âge vous avez? »

Ses doigts dansaient doucement sous le rythme d’un air fantasque, qui venait de naître dans sa tête, pour mourir sur son pantalon… Dans un courent d’air, les rideaux rouges passèrent tout proche de sa tête, soulevant quelques mèches de ci de là, alors que son regard était toujours aussi fixe.

La poitrine de Stella se gonflait à cause de ses battements de coeurs faisaient des va-et-viens répétitifs sans laisser de répit à la jeune femme qui semblait si frêle .

A sa réponse Stella ne laissa paraître aucunes émotions bien qu'elle n'eut envie de ne pas prendre en compte les préjugés et les principes de Marius.

Elle retourna alors s'asseoir dans le fauteuil qu'elle avait laissé auparavant.Elle enleva son châle ,laissant apparaître ses épaules laiteuses et délicates.

La deuxième question de Marius l'attaqua comme un coup de poignoir .Ne laissant rien paraître ,elle souria.

"N'accordez pas trop d'importance à l'éthique ..."

Elle sortit alors de son sac une petite boîte argentée ,elle était sculptée et représentée des fleurs de lotus .Elle l'ouvrit à l'aide d'un système tactile

Stella sentit alors l'odeur du tabac qui s'échappaît de l'étui ,cette odeur forte la réconfortait.

Elle alluma alors une longue cigarette blanche à l'aide d'une alumette qu'elle avait craquée sur un planche de bois qui se trouvait à côté d'elle.

L'ange en respira une bouffée et parut détendu. Elle tendit son étui vert Marius.

"Vous en désirez une ?"

Dégustant lentement sa cigarette ,elle en respira une autre bouffée.

"Vous pourrez constater que je suis assez âgée pour fumer ..."

Il la regarda avec plus de sérieux qu’il y avait quelques secondes.
En effets, il n’aimait pas la cigarette, d’abord, son odeur qui était infecte et le goût que ça donnait au sang…

Ses yeux verts s’étaient à moitiés éteintes, en deux secondes, il avait perdu beaucoup d’estime pour la jeune femme, il se ramena un peu plus sur lui-même, baissent lentement les yeux sur la boite de la jeune femme, avant de dégager son visage de ses mèches et de répondre.

« Non merci, étant déjà mort, je n’ai pas besoin de me tuer à petit feu… »

Oh… que le ton de voix avait changé lui aussi, mais, la vois gardait une espèce de vice caché derrière ses son plus durs… quelque chose de… Hum… De provocant et de quoi d’autre?

Difficile à décrire, peut être le vent qui s’était levé à cette instant, imperceptible, et qui venait courir le long des bras de la jeune femme voulait-il ségnifier quelque chose? Peut être était-ce juste pour transporter la fumée loin de la tour, ou simplement pour voir les réactions de la dame…

Un test? Pourquoi pas… Il aimait bien voir les femmes dans toutes leurs émotions, en particulier l’énervement… mais bref, quoique soit la réaction de la jeune femme, au moins, il y en aurait une…

Il pourrait donc mieux savoir sur quel terrain il joue…

Marius refusa la cigarette qu'elle lui avait été proposé . Stella sourit ,que faire ? Elle n'allait pas s'énerver pour autant ,elle était digne et c'était un ange.

Elle rangea son étui dans son sac . Après quelques bouffées elle finit sa cigarette et l'écrasa avec son pied.

Elle le dévisagea un court instant ,il était si beau et délicat ,que son côté révolté lui plaisait. Il dégageait tant de désinvolture que c'était intimidant de l'observer.
"Depuis le début nous avons négligé une question ..."

Elle afficha un sourire qui semblait sadique. Elle caressa ses cheveux et reprit :

"Que faites vous ici ?"

Il ne put s’empêcher de sourire à cette question, que faisait-il là, en effets? S’était une bonne question à la quelle il ne savait pas trop quoi répondre, à part une excuse bidon du genre : J’aime revoir les choses qui m’on accompagné dans mon passé…
Mais… ce n’était pas la raison, il le savait.

En fait, depuis un certain temps, la tour l’avait attiré, comme un appelle, une communion sourde qu’il devait faire inconsciemment, s’était sans doute l’endroit du… renforcement de son pouvoir, car il faut bien le dire, la tour des vents portaient bien son nom, le vent ne cessaient de soufflé, jour comme nuit, les hurles qui venaient d’en haut l’avait aussi souvent très intriguer, mais il n’avait jamais monter, pourquoi? Ça aussi il ne le savait pas, peut être parce qu’il ne se sentait pas digne d’aller voir, que cette place était réservé à ceux qui n’était pas comme lui, une espèce de… Libertin, tueur… manipulateur… Un être qui ne méritait que de brûler à la première lueur de l’aube.

À ses pensées, son visage s’assombrissait de plus en plus, devant un instant, dur, expriment un dégoût pour lui-même, ses yeux s’étaient baissés, et ses cils formaient un voile sur son regard, empêchant quiconque de lire dans son regard.

Malheureusement, il savait qu’il y avait plus pire que lui, c’est pourquoi il n’avait jamais agit comme un suicidaire…

Alors, pourquoi venir ici, il n’en savait vraiment rien, pas plus qu’il ne savait pourquoi la vie faisait cadeau de la mort à chaque naissance.

« Parce que mes pieds m’ont conduit jusqu’ici. »

Il releva les yeux, l’air plus pâle que jamais, pour voir les lèvres de la jeune femme sourire d’un air… Vilain? En d’autre circonstance, se sourire l’aurait sans doute fait réagir posétivement, d’ailleurs, l’ombrage d’un sourire passa sur ses propres lèvres, mais partie bien vite.

Toujours assit à terre, à moitié ramener sur lui-même, ses yeux qui avaient été brillant semblaient s’être fanés légèrement.

Une gaffe ? Non Stella ne pensait pas qu'elle avait commis une gaffe, elle pensait avoir poser une question embarassante ,c'est tout. Marius ne répondit pas de suite ,un long silence s'installa ,ne faisant que renforcer la côté glauque de cet endroit.

"Cette question vous embarasse ... Elle est embarassante pour beaucoup de monde ,c'est comme si l'on demandé à une rose pourquoi elle possède des épines ."

Elle se leva et se dirigea vers Marius. D'une main frêle ,elle effleura par mégarde sa chevelure. Elle se leva et s'installa à côté de lui...