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 un peu de poésie

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Aëlita N
Anonymous
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Messageun peu de poésie EmptyDim 15 Jan 2006 - 14:18

J'aime beaucoup la poésie et la tienne est pas mal je trouve, j'ai hâte d'en voir d'autre!!

En voici quelques uns des miens:

Un mot si compliqué

Le mot est aussi compliquer que moi
Je ne le dirais pas de nombreuse fois
Car mon cœur ne veux pas le répéter
Il ne voudrait pas être encore blesser

'Je t'aime' c'est si simple pourtant
C'est un mot tout plein de sentiment
Qui ne faut dire que de temps en temps
Seulement quand on le pense vraiment

C'est à la fois si simple et si compliquer
Je ne saurais comment vous l'expliquer
Hélas les mots ne veulent plus sortir
Ils sont sûrement peurs des souvenirs

Comment leur refaire prendre confiance
Leurs faire oublier toutes cette souffrance
Ils faut leurs montrer que les bons moments
Dire que le malheur n'est pas toujours présent

Laisse moi rêver discrètement

Laisse Toi Aller...
Il N'y A Pas De Mal À Rêver...
Même Si Tu Voles À Travers Les Nuages...
Tu Finiras Par Partir De Ce Monde...De Cette Cage...

N'oublie Pas Que L'Espoir Est Une Arme...
Que Le Silence Est Destructeur...
Dès Que Tu Peux...Laisse Couler Les Larmes...
Essaie De Rester Le Plus Loin Possible De La Noirceur...

Reste En Vie Le Plus Longtemps Que Tu Peux...
Mais Ne Craint Rien...Pour Le Moral C'est Mieux...
Quand Je Te Disais Que Les Rêves Peuvent Devenir Réalité...
C'était Bien Vrai...Mais C'est À Toi De Décider


Heureux nous sommes, Malheureux ils sont

Écoutez La Mer..
Aujourd'hui, Encore Quelqu'un Se Noie...
Dans La Vie Il Faut Être Fier...
Sinon Quelqu'un Mourra Sans Avoir Le Choix...

Sans S'en Rendre Compte On Tue Des gens...
Que Ce Soit Qu'un Geste...Qu'un Regard...
On les Fait Souffrir Plus Que Tout...Malheureusement..
Ronger Par La Solitude...Ils Connaissent Le Désespoir...

N'ayez Pas Honte De Pleurer...
Plus Vous Avez Mal...Plus Ils Sont Heureux...
N'arrêtez Surtout Pas De Vous Frapper...
Plus Vous Allez Mourir Vite...Plus Ils Vivront Mieux...


Ma plume reliée au coeur

Lorsque j'écris ma plume ne cesse de crier
Elle cri le grand désespoir que je lui fait
Je me sens coupable de la faire hurler
Mais hélas je n'arrive pas à m'en empêcher

De temps en temps je la vois lentement saigner
Parce que je viens de gravement la blesser
Le sang rouge vif coule sur les pages blanches
Qui ne sont pas vraiment très étanches...

Ma petite plume ressent tout ce que je pense
Cela la fais tourner dans tout les sens
Ma petite plume entend tout mes pensées
Même celle que jamais je ne dévoilerais

Elle est directement reliée à mon petit cœur
Mon cœur meurtrit de peur et de douleur
S'il va mal ma plume va mal elle aussi
Si mon cœur meurt, pour elle aussi c'est finit...
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Ogamie I
Anonymous
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Messageun peu de poésie EmptyDim 15 Jan 2006 - 14:20

C'est jolie.....le monde manque de poésie......continuez comme ça tout les deux .....
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Targaën
Anonymous
un peu de poésie Empty
Messageun peu de poésie EmptyDim 15 Jan 2006 - 14:26

J'ai Voulu Me PAsser De Toi
J’ai voulut me passer de toi
Je t’ai crié dessus
Qu’on ne se verrai plus
Maintenant, j’ai honte de moi,

Une vie pleine d’espoir,
Vient de sombrer dans le noir,
A cause d’une idée folle,
Qui fait que personne ne rigole..

J’ai voulut me passer de toi,
je t’ai frappé,
Je t’ai torturé,
Maintenant j’ai honte de moi.

Une personne que j’aimais,
Vient de me quitter,
A cause d’une jalousie,
Mortellement anéantie..

Je t’ai tué à coup de fouets,
A coups de Jouets,
A coups de couteaux,
A coups de Joyaux..

J’ai honte de moi,
Je t’aimais de tout mon cœur,
Je t’aimais toi,
Et maintenant j’ai peur.

Peur du meurtrier en moi,
Je ne sais pas pourquoi,
Mais j’ai envie de tuer,
Tuer un meurtrier..

On est de nouveau heureux,
Là haut, dans le paradis,
On ne coule plus de jours malheureux,
Mais des jours remplis..

De : Christine

Ce Matin J'ai Eu Une Envie
Ce matin, j’ai eut une envie bizarre,
Non pas une envie de la taille d’un lézard,
Une envie mortelle,
Une envie à une grande échelle.

J’ai eu envie de tuer,
Ce matin,
J’ai eu envie d’assassiner,
C’est malin.

J’ai pris un couteau,
Dans le cuisine de ma mère,
Je te l’ai planté dans le dos,
Et depuis, j’ère.

Je te l’ai retiré,
Le sang coulait,
Puis j’ai vu se que j’avais fait.
Je t’avais tué.

J’ai voulut voir ton visage,
Une dernière fois,
T’imaginer sur une plage,
Ensemble avec moi.

Je me suis trompé de cible,
Je n’ai jamais lu la Bible,
Mais je sais que nous ne nous retrouverons pas,
J’irai en enfer, que tu le veuilles ou pas.

Je voulais tuer quelqu’un que je haïssait,
Pas toi, non, pas toi,
Au lieux de le tuer, je me suis en sorte, suicidé,
Je t’ai tué toi..

J’ai vu ton corps sur le sol,
J’ai entendu le chant d’un rossignol,
Dehors, dans le jardin,
Et là j’ai eu envie d’être un nain.

J’aurai voulus revenir en arrière,
Arrêter ma manière,
Mais c’était trop tard,
J’en ai eu marre.

La justice m’a poursuivit,
Dans un cas infini,
Ils m’ont traité de meurtrier,
Se qui était presque vrai.

J’ai voulut me suicider,
Arrêter ma peine,
Mais je n’ai pas pu, à cause de ma haine,
Pour celui que j’aurai dû tuer..

Avant d’abréger mes souffrances,
Il fallait qu’il paye,
Qu’il paye quoi ? Sa longue oreille,
Je ne serai plus jamais en France.

Maintenant, nous sommes séparés à jamais,
Jamais on se retrouvera,
Jamais on se reverra,
Je nous ai séparé.

Les flammes de l’enfer me brûlent,
Pendant que je souffre de mon erreur,
Et j’ai peur,
Peur des chouettes qui hululent.

Des gouttes de sueur,
Sur mon front, elles perlent,
J’ai peur,
J’ai toujours ma perle.

Tout n’était qu’un rêve,
Un cauchemar,
Un mauvais rêve,
Un cauchemar…

De : Christine

Le Cheval
Cheval, créature de dieu,
Il n’y en a pas deux,
Pareils dans le monde,
Et qui n’aiment le monde.

Sous la lune,
Sur les dunes,
Dans les prés,
Sur les étendues glacées,

Le cheval règne en maître,
Sur chaque petit mètre,
Sur chaque petite feuille,
Mais pas sur l’écureuil.

Il galope libre,
Libre comme le vent,
Il est ainsi libre,
Il passe toujours finement comme un vent.

En concours,
En balades,
En cours,
En engueulades,

Les chevaux comprennent,
Et attendent,
L’amour en retour de leur ami,
Surtout uni à vie.

De : Christine

Tu M'As Menti
Tu m’as menti,
Tu m’avais toujours dit
Que tu m’aimais,
Mais ça n’était pas vrai..

Je t’ai cru,
Mais je t’ai perdu,
Même si j’avais pas compris,
J’ai eut une envie.

J’ai voulut me venger,
J’ai voulut tuer,
Mais une sensation m’a retenu,
De faire toute ma vertu.

J’ai reposé le couteau,
Et je t’ai regardé dans les yeux,
Je t’ai jeté de l’eau,
Mais toi, tu m’as mis des bleus.

Je souffre chaque jour,
A cause de l’amour,
Que tu m’as inventé,
Et que tu as amené.

Chaque jour je meurs un peu plus,
A cause de tout ce que j’aurai pu,
Mais maintenant c’est finit.
J’ai redonné ma vie.

Tu n’avais qu’à pas me faire souffrir,
Si tu ne voulais pas me voir mourir.
Tu la regrettes,
Ton erreur bête.

Tu n’aurais pas voulut ça,
Mais maintenant je ne souffre plus,
A cause de tes manies à toi,
Et à cause de l’amour que j’ai eu.

J’ai apprit de mes erreurs,
J’espère que tu ne retiens pas tes pleurs,
Je te surveille,
Même quand tu ne le crois pas, je veille..

De : Christine
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Opale It
Anonymous
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Messageun peu de poésie EmptyMer 18 Jan 2006 - 12:01

Joliiii ^o^

Vous êtes vraiment doués ^^ Moi j'écris pas de poésie parce que je suis sous-douée, mais j'aime beaucoup la poésie classique (Baudelaiiiire ^o^)

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que l’horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;

Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l’Espérance, comme une chauve-souris,
S’en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D’une vaste prison imite les barreaux,
Et qu’un peuple muet d’infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l’Espoir,
Vaincu, pleure, et l’Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.


Spleen n°4
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Lomyr
Anonymous
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Messageun peu de poésie EmptyMer 18 Jan 2006 - 17:51

c'est bôôô!!
peut-être je posterai si vous êtes d'accord pour l'anglais
sion, Bravo!!
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