Un grand terrain… des arbres de la grosseur d’un autobus scolaire… En fait, c’est plus le souvenir d’une forêt que l'on retrouve ici qu’une véritable propriété.

En effets, si on regarde bien entre les arbres, où qu’on entre par inadvertance dans un sentier qu’y est plus un chemin de terre entourer d’arbre aux allures menacent, qu’autre chose, vous découvrirez au bout, juste après un jardin remplit de plante nocturne, et parfois même, épineuse, une maison faite entièrement de pierre, peut importe la couleur, des pierres noirs mélanger à du rose, du vert, du gris et du blanc, et j’en passe, avec les scintillements des petites fontaines qui entoure la demeure, on dirait plus une énorme orgie de couleur qu’autre chose.

Dans cette demeure pourtant, il n’y a pas beaucoup de vie, sinon des domestiques qui sont actif le jour, alors que leur maître est en train de gentiment roupiller quelque part dans cette immense baraque.
Mais ne croyez pas que vous allez pouvoir, à l’aide d’une bourse bien pleine, pouvoir entrer en toute innocence dans ses lieux, non, les domestiques on bien plus qu’un sac remplit d’or comme paye, et de se fait, toute leurs fidélité ne va à personne d’autre sinon au gentil propriétaire…

Même les domestiques mâles les plus sombres ne lèveraient même pas le petit doigt à cette tentative, ma fois, je dois dire, tente sur les bords, mais que voulez vous…

C’est la vie!

C’est pas pour dire, mais y’a même de petite demeure, un peu plus loin dans la propriété, et c’est les demeures de tous ses beaux serviteurs, si y sont pas gâter!

Alors… oubliez tout de suite la séduction d’un sac remplit de belle pièce.
Optez plutôt pour une rencontre avec lui, pendant qu’il se promène librement dans ses jardins, qu’il joue un petit morceau de piano en toute innocence dans la pièce réservé à la musique, et vous aurez peut être la chance de connaître l’heureux propriétaire d’une place aussi… peu commune.

À tien! D’ailleurs, on entend clairement des rires venants de l’intérieur, serait-ce que notre chère Marius à ramené quelqu’un à la maison?
Mais allons voir! Ne soyez pas timide et entrer, il n’est pas mauvais, il comprend votre curiosité!

Donc, où allons-nous? Ah oui, c’est vrai, vers les rires, un jolie rire, sans doute appartenant à une belle femme, mais encore, ne vous faites pas d’idée, nous ne sommes pas encore arrivé.

Voilà… après avoir traversé plusieurs couloirs, vue des portes entrouvertes, certaines faisant partie du système de la bibliothèque, d’autres, pour des pièces plus grande, comme un bassin remplit d’eau ou nageait de petit poisson argenté, avec des lucioles comment seul éclairage. La lumière de ces petites bestioles se reflètent contre les dalles blanchie et bien cirés de la place, et contre les colonnes de même couleurs qui s’élevait jusqu’au plafond.

Mais… et non, malgré votre air déçus, se n’est pas là que provient les rires.
D’ailleurs, ceux si on cessé.

Contrairement aux autres pièces de la maison, celle à manger est petite, chaleureuse avec sa table de chaînes et ses chandelles à moitié finies qui dégouline de sire soutenue sur les murs par des torches faites sur mesure, noir et rouge.

Sur la table, par contre, de la vaisselle faite en porcelaine se tien, légèrement recouverte de poussière, marquent ainsi le peu d’utilité de la chose, sinon la décoration.
La lumière des chandelles éclairaient faiblement les sillons d’orées qui entourait le porcelaine et les coupes.

Le tout émettait une ambiance chaude, invitante.

Par des marches, derrières une porte, un peu plus loin, on descend dans un salon, et, ho surprise, une jeune femme tien une coupe dans ses délicates mains, alors que le maître des lieux lui fait doucement fermé les yeux, les lèvres dans son coup et les bras entourent la femme avec fermeté mais douceur.

La femme ne semblait nullement haïr le traitement, même qu’elle dévoila un peu plus son joli coup de signe, soupirent alors que ses cheveux roux s’étalaient, détaché et nullement gêner de l’être, sur son épaule gauche, venant cacher son sein gauche, déjà voilé par un tissu fin…

Voilà se que vous découvrez, mais n’oubliez pas de regarder se qui entoure les deux jeunes gens… allez… détournez votre regard…
Youyou? … HEY!

Bon… il était temps, dsl de vous avez faire sursautez, mais il le fallait… il ne faut tout de même pas étaler de la bave sur le tapis remplit d’arabesque, tout de même.

Ressaisissez-vous, par pitié!...

Bien, alors, une table basse en vitre, soutenue par des jambes de marbre rose, votre regard se porte un peu plus haut, d’autre sofa, et un feu, à une distance raisonnable, mais qui ne manque pas de produire la chaleur quand même, ainsi que des flammes qui pourraient représentez autre chose que la force de cette élément…

De la passion, peut être?

L’endroit n’est éclairé que par lui, d’ailleurs, les murs son de beau vert pâle, pendant que le foyer à proprement dit était en pierre grise et pâlot, lui aussi, un grillage noir r’enferme le tout…

Votre visite s’arrête là, très chers…

Gaitos se rendait tranquillement chez lui lorsqu'il entre aperçut entre de majestueux arbres, une maison de pierre multicolore. Gaitos se mit a rire, a voir la maison, il devait s'agir d'un bourgeois

*Enfin quelque chose pour arrondir mes fins de mois correctement*

Gaitos était bien habillé, il avait sa veste de cuir noir a la main et portait une chemise blanche sur un pantalon noir. Il pénétra donc parmis les arbres, se fichant du sentier et arriva au bout de quelque minute devant la maison, lorsqu'il vit deux domestiques se précipiter sur lui, il dit

"Du calme, je viens juste rendre visite a mon nouveau voisin..Qui semble bien s'amuser.."

Il pouffa de rire lorsqu'il entendis les rires d'une femme et attendis la réponse des Domestique

« Nous sommes dsl, monsieur, mais nous avons pour ordre de refuser toute visites, se soir. »

Dit un domestique d’un ton calme, même si les deux étaient sur leur garde, d’ailleurs, s’était leurs métier, se soir, de faire la garde, tous les deux étaient directement relié à Marius, grâce à un lien mental très fragile.

Mais heureusement, se soir, Marius buvait jusqu’à la mort de la femme, lui donnant ainsi beaucoup plus de force qu’autre chose, c’est ainsi que, après avoir coucher avec la plus grande attention la jeune femme sur le sofa, il se leva avec des yeux gorgés de sang, l’air sérieux mais avec un sourire aux lèvres.

Il se pencha un instant pour enlever toute trace de morsure dans le coup de la jeune femme, les deux trous se refermèrent avec lenteur, alors que le jeune homme sortait de la pièce, laissent la chaleur du feu garder au chaud le cadavre de la belle rousse…

La peau de la jeune femme, déjà pâle au stade vivant, était complètement blanc, maintenant, et le feu jouait à se refléter contre, alors que les yeux de la femme, qu’il n’avait pas prit la peine de refermer, ressemblait à deux miroirs.

Laissent glisser ses doigts contres le murs, la commissure de ses lèvres gorgé de sang, ses yeux regardent le sol mais le corps droit, il s’avait que quelqu’un était sur le terrain, alors qu'il marchait calmement à travers les couloirs.
Mais pour l’instant, il ne s’en souciait pas totalement, avec la pression de l’air qu’il exerçait sur le cadavre de la jeune fille, celle-ci ne tarda pas à aller rejoindre les poissons dans le bassin…

Les poissons, et sans doute autre chose dans l’eau, ne tardèrent pas à faire un festin de la dépouille…

Pendant se temps, les domestiques avaient depuis longtemps envoyer un signal à Marius, mais n’aillent pas reçut de réponse de sa pars, tous les deux étaient désemparer, ne sachent quoi faire, ils avaient l’air de deux parfaits imbéciles regardent, sans doute, l’auteur de leurs morts prochaines…

Mais sait-on jamais… peut être pas? En fait.

Gaitos fronça les sourcils et dit a l'attention des deux imbéciles

"Je vois qu'il va me falloir s'évire, je ne voulait pas en arriver la, mais vu que votre maître ne semble pas intéréssé par le sort de ses doméstiques, je sens que je vais faire un festin..."

Gaitos attrappa le premier domestique a la gorge et avant qu'il n'ai put tenter quoique se soit, il eut la glotte broyée et il mourrut asphixier. Le second lui fidèle a son maître sans doute sauta vers Gaitos , celui-ci lui attrappa le bras droit et le tordis dèrrière son dos. Le serviteur le supplia de le lacher et Gaitos éclata de rire, il dit

"Il fallait réfléchir a deux fois avant de me refuser quelque chose..."

Gaitos planta ses crocs dans le cou du malheureux et celui-ci mourut dans la minute, alors que Gaitos se déléctait de son sang. Gaitos marcha un moment vers la porte et dit

"Ne m'obligez pas a défoncez la porte, je veux juste vous dire bonjour..."

Il sortait d’une porte qui menait vers le jardin de l’ouest, le pas silencieux et l’air minutieux.
Ses mèches tombaient à moitié sur son visage et dans son coup, alors que le reste ne faisait que voleter à cause d’une brise, soudainement lever, mais de force faible.

Le ciel était étoiler se soir, mais des nuages venaient cacher la plupart de ses diamants, mais la lueurs des étoiles donnaient une couleur argenté au nuages.

D’ailleurs, les chaînes de Marius reflétaient aussi la lumière, mais cette fois, non pas des étoiles, mais du croisent de lune.


« Tuer deux serviteurs pour simplement dire bonjour, c’est suspect, non?»

Murmura Marius, l’air calme, alors que dans un bassin, un peu plus loin, la seule chose qui restait était des bijoux, dans le fond, se qui donnaient des scintillements multicolores, qui venaient frapper de plein fouet le blanc de la salle.

« Pour ma pars, j’ai déjà vue mieux, comme technique d’approche. »

Continua-t-il d’une voix parfaitement maîtrisé, les mains dans les poches, alors que des pétales de fleur blanche venait frôler ses vêtements noirs.
Il fronça les sourcils, légèrement, avant de faire un geste vaste du bras, comme pour écarter tout ça.

« Soit, que me voulez-vous, réellement? »

"Je vous l'ai dit, je voulais juste passer dire bonjours a mon nouveau voisin...Et en plus, c'est un vampire, décidement, j'ai vraiment beaucoup de chance..."

Gaitos parlait d'une voix calme et sans colère, il ajouta

"Votre remarque est pertinente, mais figurez vous que parfois, il m'arrive de sombrer dans une folie que j'ai du mal a controlé, lorsque quelque chose me contrarie par exemple..."

Gaitos essuya ses lèvres grace au mouchoir qu'il avait en poche et dit

"Malheureusement c'est tombé sur eux, mais je ne m'en fait pas, je suis sur que vous trouverez bien un moyen de caché les corps, voir même de vous en débarasser..."

Gaitos indiqua la foret, il se retourna vers Marius et dit

"Excusez moi, j'oublie même de me présenter, Gaitos, simplement Gaitos et vous, comment vous appellez vous, si t'en est que vous ayez un nom..."

Marius aurait bien répondu, si, un peu plus loin, il n’aurait pas entendu la voix d’une jeune femme se faire entendre.

Quittent des yeux pendants deux secondes ceux de Gaitos, il reçut la vue de la dite jeune femme sans broncher, malgré l’aura naturel de séduction qui émanait du corps de la dame, il fit non de la tête.

Ramenant son attention sur Gaitos, il pencha un peu la tête sur le côté :

« Vous avez l’air, pourtant, plus vieux que moi, et, sans vous insultez, je maîtrise mes humeurs avec plus de force que vous… Mais quoiqu’il en soit, oui, j’ai un nom. »

Il fit une pause, un petit sourire aux lèvres tout en enlevant sa main droite de sa poche pour se la passer dans les cheveux, question d’enlever quelques mèches gênantes.

« Marius Bochnivoc… »


Intérieurement, malgré le visage calme qu’il affichait et son air sur de lui, il était un peu surprit.
Malgré tout le temps qu’il habitait là, s’était l’une des rares fois où une personne, et même deux, venaient, dans la même nuit, le déranger…

Pas que se taper la discute lui déplaise, mais c’est qu’il avait d’autre idée en tête…

Quoiqu’il en soit, il demanda à la ravissante jeune femme :

« Et vous, vous avez un nom? »

Gaitos détourna la tête un moment a la réponse de Marius et dit

"Justement, j'ai eu plus de temps pour voir des choses que vous n'imagineriez même pas..."

Gaitos tourna alors la tête vers la jeune femme et lui répondis un sourire au lèvre

"Enchanté, je pense que vous avez entendus mon nom précédement, alors, je ne pense pas devoir me présenter a nouveau..."

Gaitos sourit a la question de Shany et dit

"Oh, eux ??? Je dirais qu'ils ont un peu trop voulu défendre leur maître et malheureusement pour eux, cela leur a couté cher, moi qui voulait juste venir me présenter a Marius, lequel a une fort belle maison, je dois bien le reconaître, mais, apparement de très bonne occupation."

Gaitos pouffa de rire, il faisait référence au rire de femme qu'il avait entendus en s'approchant de la maison.

Il plissa les yeux deux secondes en regardent Gaitos, avant de sourire, l’air amuser de la remarque.
Même, un faible rire se fit entendre.

« Oui… elle était fort belle, mon occupation, magnifique même… d’une douceur remarquable. »

Reconnu-t-il, parlent avec sincérité, tout en glissent un œil vers Shany, un œil, ma fois, teinter de malice et, malheureusement pour Marius, remplit des long cils noir dont sa mère lui a transmit.

Un brise se leva, fraîche, faisait valser les fleurs et tournoyer les cheveux des trois jeunes gens.
Malgré que les deux ne semblaient pas mauvais, il en fallait bien plus à Marius pour les laisser entrer dans sa maison, surtout que, comme ça, le premier soir… Et sans connaissance, impensable.

Il prenait toujours le temps de connaître, se qui, sans doute, en agaçait plus d’un…

Hum? Quoi? Ah… je vois… vous êtes surpris que pour un homme, le premier soir ne soit pas dans ses priorités? Et bien imaginez-vous donc que… Hein? Oui, sans doute Marius est une exception, j’en conviens.
Mais asser de stupidité, regardons plutôt se qui se passe.

Revenons au regard de notre homme, de sa main qui pend proche de son corps, de l’autre, dans sa poche, ou encore, de sa pause décontracter mais pas molle…

« Si vous désirez, nous pouvons aller discuter dans le jardin, les plantes carnivore sont généralement repus, le soir. »

Gaitos sentait que Marius ne voulait pas les laisser entrer dans sa maison, il se dit

*se n'est pas grave, je reviendrai me servir, en attendant profitons*

Gaitos ne put s'empecher de sourire a Marius et dit

"Rien ne me ferais plus plaisir que d'apprendre a vous connaître...Mais si l'envie prenait a vos plantes de se nourrire, ne venez pas vous plaindre si elles meurent de soif..."

Gaitos se mit a rire et suivit Marius qui se dirigeait vers le jardin

Marius, souriant à cause de Gaitos, prit tout de même le temps de s’assir dans sur une chaise, devant une petite table, leurs montrent d’autre chaises d’un mouvement de bras.

La place était entourée de plante, principalement bleu et jaune, gros ou petit, peu importe.

Le parfum qui embouait l’air n’était pas, malgré le nombre de fleur, envahissent, non, plutôt léger, attirent et doux… ça sentait, d’ailleurs, étrangement la mente, se qui rendait la place deux fois plus fraîche, non pas juste en sens de senteur, mais aussi pour la température, comme si l’odeur avait un effets sur la chaleur de l’air.

Quoiqu’il en soit, c’est une fois ces deux invités surprises qu’il reprit la parole, répondant à Shany.

« Pour ma part, si il y en a beaucoup, je ne vais pas spécialement à leur rencontre, donc, je ne saurais dire, mais je crois que oui, et même, peut être plus qu’on le pense réellement. »

Il prit le temps d’observer la jeune femme, ça beauté sautait tout de suite au visage, mais il y avait autre chose, dans le fond des yeux, qui étaient sans doute plus profond. Il n’en savait trop rien, mais il aimait bien ce petit air sauvage qu’elle affichait, peut être, sans s’en rendre compte.
Puis l’homme, l’air malin, pas spécialement mauvais, mais, comme il l’avait apprit en voyant la mort de ses gardes, il ne fallait pas trop se fier aux apparences, et sans aucune doute, avec cet homme.

Mais revenons au problème des vampires, il avait entendu parlé, entre les branches, d’un groupe qui était il y a peu, et qui était constituer de vampire, mais se n’était pas le pire, le pire, à son avis, s’était que l’homme lui faisait pensé à la description de plusieurs d’entre eut, furtif, l’air sympa mais violent…
(Je m’informe, faut bien animer les sujets^^)

« Il y a quand même un group de vampire, je ne sais si la nouvelle est vrai, mais qui es arrivé récemment… j’ai conscience que le sujet peut être déplacer, mais je me demandais, car la nouvelle m’intrigue, si l’un de vous n’en saurais pas plus que moi… »

Avança-t-il d’une voix calme, l’œil brillant et vif, passent d’une personne à l’autre.

Gaitos fut un petit peu surpris par le jardin, cette atmosphère fraich et douce, cela lui rappelait les printemps d'y l'y a longtemps. Puis gaitos regardis Marius, un petit sourire sur le visage. Il attendit de voir se que savait Shany pour répondre et il dit alors

"J'ai moi aussi croisé une dizaine de vampire jusqu'a présent, mais, effectivement il y a bien un groupe de vampire, mené par un lycan et un autre vampire...Mais, je n'en fait pas partie rassurez vous..."

Gaitos se mit a rire, un petit rire discret et il ajouta

"Bien que je comprenne que l'on ai put me confondre avec l'un deux...Mais eux sont plus violent que moi, sauf lorsque je pique une crise de folie, comme je vous l'ai expliqué tout a l'heure..."

Il se retourna alors vers Shany et dit

"Mais vous même , êtes vous une vampire ??? Vous avez l'air énèrvée lorsque l'on parle d'eux, et je me demande pourquoi..."

Gaitos avait toujours son petit sourire discret sur le visage, mais, il n'avait vraiment pas l'air dangereux a se moment précis

Il écouta attentivement se que Gaitos lui dit, avant de baisser les yeux, quand l’attention de l’homme fut détourner de lui pour aller sur déposer sur la jeune femme.
La nouvelle ne lui faisait n’y froid n’y chaud, il espérait simplement qu’il ne les rencontreraient pas.
Puis une idée lui vint à l’esprit, éclairait ses prunelles pendant deux secondes.

La question ne lui étant pas adresser, il ne dit donc rien, préférant se mettre à l’aise, sur la chaise, ça ne prit pas de temps avant que l’une de ses jambes soit poser sur le bras droits, que l’autre pende dans le vide, que son dos soit accoté contre le bras gauche, il qu’il ne pousse un soupir de satisfaction.
Ne se soucient pas tellement de l’image qu’il offrait pour l’instant.

Tout en attendant la réponse de la demoiselle, il regarda à droite, l’air d’attendre quelque chose.
Et ça ne tarda pas, trois coupes et une bouteille flottent dans le vide se dirigeaient, tout en évitent les fleurs, (surtout la bouteille) vers la petite table, enfin, les coupes, car la bouteille atterrit dans la main levers de Marius.
Sans vraiment attendre que l’un deux ne lui pause une question, il amena une coupe à lui, tout en ouvrent la bouteille d’un mouvement habille d’un pouce, pour laisser s’échapper une odeur particulière dans l’air.

Tenant adroitement la coupe entre ses doigts tendit qu’elle se remplissait lentement d’un liquide rouge, un vin à première vue… mais à qu’elle saveur?
C’est à vous de me le dire…

La coupe se dirigea ensuite vers Gaitos, sous le regard attentif de Marius, alors qu’une autre venait se pauser dans sa main, il répéta le même mouvement, et la laissa aller rejoindre la jeune femme.
Avant que lui-même, Marius Bochnivoc, ne se verse un vers, l’air aussi à l’aise que n’importe qui, en agréable compagnie.

Gaitos sourit a la réponse de shany et dit

"Comme s'est intéréssant...Décidement, les vampires sont partout pour le moment..."

Gaitos regardit les coupes de vins se diriger vers leur propriétaire et , lorsque l'une d'elle passa devant lui, il la saisit habilement et sentit l'odeur du vin. C'était une odeur fruité et sucré gaitos attendis néanmoins que Shany aie finit de boire sa coupe pour commencer a boire la sienne, tout en gardant une attitude décontractée. Le vin était très bon, avec une note de chêne, donnée sans doute par le fût dans lequel il avait été conservé. Gaitos sourit et dit

"C'est un très bon vin que vous nous servez là, et d'une manière très original qui plus est, je suppose que vous êtes capable de faire se que vous faites grâce a la maîtrise de l'air n'est se pas ???"

Gaitos sourit toujours, en effet , il était observateur lorsqu'il étaot calme, il vida donc sa coupe de vins sans trop tarder et demanda

"Auriez vous l'amabilité de m'en servir une autre coupe, il est si bon..."

Même si gaitos savait qu'il allait probablement rejetter le vins dans les deux heures, il aimait la saveur de certain d'entre eux...

Il n’avait même pas eut le temps de s’en noyer les lèvres que déjà, on lui en redemandait, par contre, ce ne fut pas la demande qui le fit sourire de la sorte, se fut plutôt le mot « Vin » qui le faisait sourire, lui donnant un air farouche.

Néanmoins, il reprit la bouteille tout en amenant la coupe de Gaitos à lui, parlent lentement pour ne pas faire une gaffe, ce n’était qu’un homme après tout, même vampire, on n’avait pas les crômmauxones(Aucune idée de l’orthographe.) d’une femme.

« En effets, c’est grâce à mes pouvoirs que je j’arrive à faire tout ça… »

Il se tue un instant, préfèrent observent le dit vin descendre dans la coupe comme ci se fut un spectacle très intéressent.

« Par contre, sachez bien que ce n’est en aucun cas du vin… N’y même une quelconque alcool… »

Le vent souffla, répandant moule frisson parmi les fleurs, alors que cheveux et vêtements tanguait joyeusement sous cette brise.
Il fini par redonner la coupe à Gaitos.

« C’est du sang parfumer… »

Il jeta un regard aux fleurs, un sourire mystérieux aux lèvres, avant de pauser ses yeux sur Shany et de prendir discrètement la bouteille à son attention, comme une question silencieuse.